La chanson réécrite !

Trèfle à quatre feuilles complété par KTsering et Titiboisco !

Deux vainqueurs de plus avec calicoba et idavida, et avec joie !

La solution, apparemment facile d'après certains et moins selon d'autres, était donc: Il faut une fleur pour faire le monde

Pour faire une chanson, il faut en soi - Pour faire une maison, il faut du bois,
Trouver le feu de bois sans brûler l’arbre - Et pour trouver du bois, il faut un arbre
Pour faire ce feu ou parfois un poème - Pour faire cet arbre il a fallu qu'on sème
Poème peine, ou bien rebelle - Sème une graine, vivante et belle
Il faut pour que sorte la peine, à tous - Pour faire la graine il a fallu que pousse
Un coup de pouce, un coup de pouce - La fleur si douce, la fleur si douce
Un coup de pouce pour s’ouvrir au monde - Il a fallu une fleur pour faire le monde

Pour la douzième, contenant tout mon "amour" pour la capitale certes un peu lointaine à mon cœur. Mais bon, l'essentiel est ailleurs: bon jeu !

Chanson réécrite n°12

Elle est ville lumière mais bien des yeux
Se font aveugles, au moins bigleux
En parcourant ses rues sans fin
Aux Champs Élysées, vieux refrain
Plus rien ne bat au Sacré cœur
Et dans ses murs
Paris se meurt

Elle est ville poussière il faut le dire
Étouffée par les souvenirs
De toutes manières, traversée
Cernée de bitumes bouchés
Elle nous toise de sa hauteur
Mais dans ses murs
Paris se meurt

Calicoba, pour qui les défis sont sans valeur tant il les relève à chaque fois rapidement, est le premier gagnant ! Il est suivi de près par idavida...et de pas très loin par Tropifan le roi du tiercé !

Trois gagnants seulement ? Vous avez de ces manières de ne rien écrire qui fait imaginer le pire. Mais bon, alors que poussent les fleurs, j'espère que fleuriront les rimes en -eur dans d'autres esprits que ces trois là.

Une chance pour les retardataires, le jeu est ouvert encore quelques jours puisqu'il n'y aura pas de n°13 dans la semaine à venir. Non pas que ça porte malheur (tiens, encore une rime en -eur), pourtant.

Bonne semamour, c'est mieux qu'une sem(h)aine ! (Ceci n'est pas un indice)

Elle est... pourtant trouvable cette chanson; d´ailleurs, moi qui ai du mal à retenir les paroles, j´ai réussi, c´est tout dire

Pas la moindre idée. Je sèche.

Passons aux indices de stade 2 (mais pas l'émission) alors. Le soliste est le même que pour la chanson n°10 et bien que n'étant pas du répertoire Poppys traditionnel la chanson est assez incontournable. D'ailleurs elle est, actu oblige, de toutes les sorties depuis un an environ.

KTsering a écrit:Pas la moindre idée. Je sèche.

Irtimid étant d´un naturel aimable, et moi plus ou moins aussi, nos messages fourmillent d´indices

Un naturel aimable, moi ? Alors on a dû le chasser, mon naturel, et il n'est pas revenu au galop !

Toujours est-il que KTsering a finalement trouvé la chanson !

Je l'avais sur le bout des doigt et était persuadé se savoir dans quelle "génération de chanson" la trouver. Il m'a fallut du temps (WE chargé oblige) mais c'est un évidence en fait ... N'est-ce pas KTsering ?

Pfttt ! Heureusement qu'on a affaire à d'aimables informat-eurs.
Oui, ça saute aux yeux ... mais après.

Une évidence je ne sais pas, mais avec Le_neptunien qui l'avait au bout des doigts mais s'en est sorti à sa main, on a le cinquième doigt de notre main de vainqueurs !

Et un tout nouveau joueur, et gagnant par la même occasion, avec heinz !

Voici quand même la solution: Elle est d'ailleurs.

Elle est ville lumière mais bien des yeux - Elle a de ces lumières au fond des yeux
Se font aveugles, au moins bigleux - Qui rendent aveugle ou amoureux
En parcourant ses rues sans fin - Elle a des gestes de parfum
Aux Champs Élysées, vieux refrain - Qui rendent bête ou rendent chien
Plus rien ne bat au Sacré cœur - Et si lointaine dans son cœur
Et dans ses murs - Pour moi c'est sûr
Paris se meurt - Elle est d'ailleurs

Elle est ville poussière il faut le dire - Elle a de ces manières de ne rien dire
Étouffée par les souvenirs - Qui parlent au bout des souvenirs
De toutes manières, traversée - Cette manière de traverser
Cernée de bitumes bouchés -- Quand elle s'en va chez le boucher
Elle nous toise de sa hauteur - Quand elle arrive à ma hauteur
Mais dans ses murs - Pour moi c'est sûr
Paris se meurt - Elle est d'ailleurs

La prochaine dans le courant de la semaine (oui je sais, c'est très précis comme date)

Devant tant d´imagination, je suis admiratif; mais ce qui m´impressionne le plus, c´est que tu parviens dans ta chanson réécrite à respecter le nombre de pieds de chaque vers de la chanson originale. Faut le faire !

A quand des chansons originales écrites pour les Pcaif, Monsieur le Poète ?

tropifan a écrit:mais ce qui m´impressionne le plus, c´est que tu parviens dans ta chanson réécrite à respecter le nombre de pieds de chaque vers de la chanson originale.Faut le faire !

Quoi donc ? Savoir compter ?

KTsering a écrit:A quand des chansons originales écrites pour les Pcaif ?

Il y a des gens qui savent écrire de belles chansons...et moi je ne sais qu'en détourner sans vergogne en les vidant de leur sens profond. Chacun son truc !

KTsering a écrit:Monsieur le Poète

Non, alors déjà Monsieur c'est beaucoup dire mais Poète pour quelqu'un qui remplace "ou amoureux" par "au moins bigleux" c'est un poil trop, vraiment.

Merci pour vos réactions cependant, ça fait plaisir

Faire cette réécriture un 1er mai, un effort homérique...Ulysse (et surtout sa femme) n'ont qu'à bien se tenir.

Chanson réécrite n°13

France je t’écris, car je vois tes maux
Ta croissance à terre, ton agonie sous chapeau
France, je t’écris, pour te demander
Si tes âmes retrouveront le chemin des amitiés

Hexagonie, cette fois ça suffit
Que s’en aille ton nuage gris
Ce nuage épais, on doit le souffler
Pour dire ce nom, Hexagonie, sans le i

Un premier indice: dans l'originale, "Hexagonie" fait la manche à l'aide d'un bateau gris.

Ça ne me dit rien... pour l´instant, il faut laisser mijoter

KTsering a trouvé, très rapidement ! Et quand on trouve quelque chose la vie est si jolie, malgré son autre face.

Deux gagnants de plus se sont signalés dans l'après-midi: Tropifan et Calicoba - deux habitués.

Le_neptunien a trouvé à son tour. Quatre vainqueurs pour cette 13ème réécriture de chanson qui vu la baisse de la participation et surtout de mon inspiration ne sera pas suivie en ce qui me concerne d'une 14ème pour l'instant - en plus finir sur un 13 ça me va très bien. Je laisse le printemps et l'été chanter leurs airs non détournés, et merci à tous les joueurs !

Pénélopie

France je t’écris, car je vois tes maux - Alors je t'écris, rien qu'un petit mot
Ta croissance à terre, ton agonie sous chapeau - Dans ton Angleterre où il ne fait pas très beau
France, je t’écris, pour te demander - Alors je t'écris pour te demander
Si tes âmes retrouveront le chemin des amitiés - Si nous nous retrouverons sur la plage cet été

Hexagonie, cette fois ça suffit - Pénélopie, la France est jolie
Que s’en aille ton nuage gris - Je t'attendrai près du bateau gris
Ce nuage épais, on doit le souffler - Ce bateau, tu sais, où j'avais gravé
Pour dire ce nom, Hexagonie, sans le i - Mon nom et ton nom, Pénélopie si jolie

Allez, me voilà porté une motivation dominicale et surtout par Tropifan et ses méritoires efforts musico-ludiques hebdomadaires: une dernière chanson réécrite (dernière de l'année scolaire, en tout cas) sera finalement proposée cette semaine. Par l'exemple à l'occasion de la Fête des Paroles le 20 juin...oui, y a une Fête de la Musique, aucune raison de pas créer une Fête des Paroles, faut les deux dans une chanson.