La chanson réécrite !
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Re: La chanson réécrite !
Des énigmes qui me disent quelque chose. Et comme je suis spécialisé dans le mystère, ça devrait m´aider. Bon, je tente ma chance
tropifan- Nombre de messages : 2447
Localisation : Equateur
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: La chanson réécrite !
Ils sont déjà quatre habitués à avoir reconnu la n°14 dans la soirée: idavida, KTsering, Tropifan et Le_neptunien.
Et un de moins, pour l'instant, pour la n°15: KTsering, Tropifan et Le_neptunien.
Apparemment des réécritures pas trop trop mystérieuses (Tropifan ).
Et un de moins, pour l'instant, pour la n°15: KTsering, Tropifan et Le_neptunien.
Apparemment des réécritures pas trop trop mystérieuses (Tropifan ).
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Calicoba s'est ajouté à la liste des vainqueurs, et ce pour les deux chansons.
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Sixième vainqueur pour la numéro 14 avec heinz, qui a également trouvé la n°15 dans la foulée !
Au cas où des retardataires se manifesteraient, la solution ne sera donnée que demain.
Au cas où des retardataires se manifesteraient, la solution ne sera donnée que demain.
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Voici les solutions, merci aux participants !
Chanson réécrite n°14: Jésus Révolution
Il vit les pieds sur terre - Il prie dans la poussière
Il consomme, il fait des affaires - Il est beau, il est sur la Terre
Prenant les cours au bond - Les cheveux courts ou longs
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Il aime que chantent parfois - Il chante Ave Maria
Les gens qu’il prive de voix, - En jean, ou cravate ou bien
Leur prenant l’air, son fond - En militaire, son nom
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Il moque l’institution - Il stoppe, donne le ton
Mais il tope, vite, pour du pognon - Il est pop, kitsch, classique ou non
Libre d’être un mouton - Jeune ou vieux mais son nom
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Il prie, quand il a le temps - Il mange quand il a le temps
Entre un deal, un biz, et deux calmants - Et il dort, souvent ou pas souvent
Tout ça par par tradition - Rappelez-vous son nom
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Mesdames et messieurs, à qui la faute - Restez-là messieurs les faux-apôtres
Si il n’y a plus d’hôtes, plus d’autres, mais des objets - Et soyez des nôtres jusqu'à la vérité
Le jour où les soldes qui éclatent - Restez-là le drame qui éclate
Soldent les tomates, et les hommes matés - Vous l'avez voulu, vous l'avez mérité
Il garde un peu de cœur - Il chante pour les fleurs
Pour un môme, son sang, dernière couleur - Il est riche, pauvre, mais dans son coeur
Quand règne l’unisson - Il n'y a que du bon
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
C’est vous et aussi moi - C'est vous ou bien c'est moi
C’est figé, qui pour changer ça ? - Je ne sais rien et vous ne savez pas
Tombé dans le béton - Mais c'est ça qui est bon
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Chanson réécrite n°15: La vie c'est si joli
Le soleil vient d’arriver - Comme l'été vient d'arriver
Ceux qui déjà se plaignaient - Je voudrais le saluer
De l’hiver jamais fini - Car l'été c'est toute ma vie
Disent au ciel « Je te maudis » - Et la vie c'est si joli
Je maudis les gouttes, ploc-plic - C'est joli comme la musique
Comme tes rayons qui piquent - Comme une guitare électrique
Comme l’orage qui a grondé - Comme l'espoir, comme l'amitié
Je maudis l’hiver l’été - C'est joli, c'est comme l'été
L’hiver, l’été - C'est comme l'été
Le soleil bouge dans sa danse - Comme l'été c'est les vacances
Des enfants lui font confiance - Je voudrais lui faire confiance
Profitant du chaud, des pluies - Et puis faire confiance à la vie
Aucun ne dit « Je te maudis » - Car la vie c'est si joli
Chanson réécrite n°14: Jésus Révolution
Il vit les pieds sur terre - Il prie dans la poussière
Il consomme, il fait des affaires - Il est beau, il est sur la Terre
Prenant les cours au bond - Les cheveux courts ou longs
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Il aime que chantent parfois - Il chante Ave Maria
Les gens qu’il prive de voix, - En jean, ou cravate ou bien
Leur prenant l’air, son fond - En militaire, son nom
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Il moque l’institution - Il stoppe, donne le ton
Mais il tope, vite, pour du pognon - Il est pop, kitsch, classique ou non
Libre d’être un mouton - Jeune ou vieux mais son nom
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Il prie, quand il a le temps - Il mange quand il a le temps
Entre un deal, un biz, et deux calmants - Et il dort, souvent ou pas souvent
Tout ça par par tradition - Rappelez-vous son nom
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Mesdames et messieurs, à qui la faute - Restez-là messieurs les faux-apôtres
Si il n’y a plus d’hôtes, plus d’autres, mais des objets - Et soyez des nôtres jusqu'à la vérité
Le jour où les soldes qui éclatent - Restez-là le drame qui éclate
Soldent les tomates, et les hommes matés - Vous l'avez voulu, vous l'avez mérité
Il garde un peu de cœur - Il chante pour les fleurs
Pour un môme, son sang, dernière couleur - Il est riche, pauvre, mais dans son coeur
Quand règne l’unisson - Il n'y a que du bon
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
C’est vous et aussi moi - C'est vous ou bien c'est moi
C’est figé, qui pour changer ça ? - Je ne sais rien et vous ne savez pas
Tombé dans le béton - Mais c'est ça qui est bon
C’est l’Homo Consommation - C'est Jésus Révolution
Chanson réécrite n°15: La vie c'est si joli
Le soleil vient d’arriver - Comme l'été vient d'arriver
Ceux qui déjà se plaignaient - Je voudrais le saluer
De l’hiver jamais fini - Car l'été c'est toute ma vie
Disent au ciel « Je te maudis » - Et la vie c'est si joli
Je maudis les gouttes, ploc-plic - C'est joli comme la musique
Comme tes rayons qui piquent - Comme une guitare électrique
Comme l’orage qui a grondé - Comme l'espoir, comme l'amitié
Je maudis l’hiver l’été - C'est joli, c'est comme l'été
L’hiver, l’été - C'est comme l'été
Le soleil bouge dans sa danse - Comme l'été c'est les vacances
Des enfants lui font confiance - Je voudrais lui faire confiance
Profitant du chaud, des pluies - Et puis faire confiance à la vie
Aucun ne dit « Je te maudis » - Car la vie c'est si joli
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Toujours aussi impressionné par ton imagination... et par ton aisance pour trouver les rimes
tropifan- Nombre de messages : 2447
Localisation : Equateur
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: La chanson réécrite !
Je ne l'ai peut être pas redit mais je pense tout comme Tropi.
Dernière édition par Le_neptunien le Lun 22 Juil 2013 - 22:56, édité 1 fois
_________________
Le_neptunien
Re: La chanson réécrite !
Je vous en remercie, c'est gentil
C'est un plaisir à faire, en tout cas !
C'est un plaisir à faire, en tout cas !
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Vous ne trouvez pas que ça sent de plus en plus la rentrée ? Ben oui, c´est fini les vacances....
Ah, on me dit dans l'oreillette que cette introduction est intégralement copiée, plagiée, pompée sur celle de Tropifan à propos de La chanson mystérieuse...rendons à César ce qui lui a été Pompée, même si je n'ai pas d'oreillette. Je reprends.
C'était la rentrée des petits écoliers (de Lu ? Pour ceux qui savent lire, oui) aujourd'hui. Et, bien que les tortueuses énigmes pianotées par César...Tropifan, pardon, suffisent amplement à martyriser les esprits, la chanson réécrite reprendra également du service à partir de jeudi. Il n'y aura aucune promotion du type "Deux pour le prix d'une": d'abord parce que Tropifan va trouver le moyen de prouver que deux = huit et je n'ai pas le courage; ensuite parce que je ne suis pas généreux du tout; enfin parce que faudrait pas écouler le stock trop vite.
Petite nouveauté au programme pour ceux qui veulent quand même du deux en un, je m'arrangerai à chaque réécriture pour y placer une référence à une chanson française - soit le titre de cette chanson soit certaines de ses paroles les plus marquantes. Ce sera bien entendu à chaque fois une chanson assez populaire pour être repérée par le plus grand nombre, je ne m'amuserai pas à placer d'obscurs titres inconnus. Ceux qui la trouveront auront des points bonus, mais comme on ne compte pas les points, ça leur fera une belle jambe (Quant à ceux qui trouveront dans la réécriture des titres de chansons que je n'aurai pas fait exprès de mettre, j'accepterai leur filouterie).
Exemple: si je transforme "Moi je pense à l'enfant entouré de soldats" par "Et je crie au faisan, non ne me quitte pas", vous reconnaitrez facilement...que pour parler aux faisans, faut avoir un grain.
Et en parlant de ça (de la chanson ici détournée, pas du faisan) pour faire patienter ceux qui seraient éventuellement impatients, ci-dessous une réécriture que je ne vous ferai pas l'injure de classifier comme énigme; son origine, donc son existence, sont à imputer au Neptunien et à Saudie, celle-là même qui possède l'insigne honneur d'être "le dernier utilisateur enregistré" sur ce forum et qui n'est pas du tout saoudienne.
Ah, on me dit dans l'oreillette que cette introduction est intégralement copiée, plagiée, pompée sur celle de Tropifan à propos de La chanson mystérieuse...rendons à César ce qui lui a été Pompée, même si je n'ai pas d'oreillette. Je reprends.
C'était la rentrée des petits écoliers (de Lu ? Pour ceux qui savent lire, oui) aujourd'hui. Et, bien que les tortueuses énigmes pianotées par César...Tropifan, pardon, suffisent amplement à martyriser les esprits, la chanson réécrite reprendra également du service à partir de jeudi. Il n'y aura aucune promotion du type "Deux pour le prix d'une": d'abord parce que Tropifan va trouver le moyen de prouver que deux = huit et je n'ai pas le courage; ensuite parce que je ne suis pas généreux du tout; enfin parce que faudrait pas écouler le stock trop vite.
Petite nouveauté au programme pour ceux qui veulent quand même du deux en un, je m'arrangerai à chaque réécriture pour y placer une référence à une chanson française - soit le titre de cette chanson soit certaines de ses paroles les plus marquantes. Ce sera bien entendu à chaque fois une chanson assez populaire pour être repérée par le plus grand nombre, je ne m'amuserai pas à placer d'obscurs titres inconnus. Ceux qui la trouveront auront des points bonus, mais comme on ne compte pas les points, ça leur fera une belle jambe (Quant à ceux qui trouveront dans la réécriture des titres de chansons que je n'aurai pas fait exprès de mettre, j'accepterai leur filouterie).
Exemple: si je transforme "Moi je pense à l'enfant entouré de soldats" par "Et je crie au faisan, non ne me quitte pas", vous reconnaitrez facilement...que pour parler aux faisans, faut avoir un grain.
Et en parlant de ça (de la chanson ici détournée, pas du faisan) pour faire patienter ceux qui seraient éventuellement impatients, ci-dessous une réécriture que je ne vous ferai pas l'injure de classifier comme énigme; son origine, donc son existence, sont à imputer au Neptunien et à Saudie, celle-là même qui possède l'insigne honneur d'être "le dernier utilisateur enregistré" sur ce forum et qui n'est pas du tout saoudienne.
- Chanson réécrite "bonus":
- C’est l’histoire d’une patate que j’avais fait griller
C’est l’histoire d’une tomate qui n’avait pas poussé
C’est l’histoire d’un chat noir que je croyais persan
Que je tentai un soir de croquer tout vivant
De manger désireux j’étais de toute fête
Tout manger j’espérais des plats faisant un mètre
Et le soir de Noël toujours je me goinfrais
Toujours je me goinfrais, toujours je me goinfrais
[Refrain]
Oui, oui, j’ai tout mangé
Y a plus rien à bouffer
Oui, oui, j’ai tout mangé
Y a plus rien à bouffer
Hey hey, hey hey
Au resto bien des gens me prennent pour un fou
A mon sixième hareng, mon deuxième mérou
A l’entrée, à l’entrée
Et je vois tous les jours gonfler mon ventre rond
L’autre soir à Noël en buvant des canons
J’me pesais, j’me pesais, et je réalisai
Refrain
Moi je pense à l’enfant qui jamais ne naîtra
Car je n’ai pas le temps, je mange, pas le choix
Tout le temps, tout le temps
Arrêter tout cela, je ne le pourrais pas
Entrée, dessert et plat, je me bats contre moi
Et pourtant, et pourtant, je mange, je mange
Refrain
C’est l’histoire d’une patate que j’avais fait griller
C’est l’histoire d’une tomate qui n’avait pas poussé
C’est l’histoire d’un chat noir que je croyais persan
Que je tentai un soir de croquer tout vivant
De manger désireux j’étais de toute fête
Tout manger j’espérais des plats faisant un mètre
Et le soir de Noël toujours je me goinfrais
Toujours je me goinfrais, toujours je me goinfrais
Refrain
(Je vous fait, dans ma bonté, grâce de la captation idio...audio de ladite réécriture. Car oui, elle existe)
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Tu as gêné ma digestion en provoquant une crise de rire, je me plaindrai à Flomick.
Bon, sérieux, ça serait pas Isabelle je t´aime la chanson ? Encore que la qualifier de patate, c´est plutôt osé, ça frôle le crime de lèse-Poppys Et la faire griller c´est du cannibalisme
Bon, sérieux, ça serait pas Isabelle je t´aime la chanson ? Encore que la qualifier de patate, c´est plutôt osé, ça frôle le crime de lèse-Poppys Et la faire griller c´est du cannibalisme
tropifan- Nombre de messages : 2447
Localisation : Equateur
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: La chanson réécrite !
Même pas drôle, je voulais diffuser moi ... Bon, vous payez combien pour avoir le privilège de l'entendre chantée et guitarée, cette chanson ?! (Un vrai délice en tout cas ! Merci irtimid pour ce bon moment !)irtimid a écrit:
- Chanson réécrite "bonus":
(Je vous fait, dans ma bonté, grâce de la captation idio...audio de ladite réécriture. Car oui, elle existe)
_________________
Le_neptunien
Re: La chanson réécrite !
J´espère que personne n´a cru que c´était Isabelle la chanson, d´abord parce que Irtimid, respectueux comme il est, n´aurait jamais osé traiter cette gloire pcaifesque de patate, encore moins la faire griller. Et puis ça saute tellement aux yeux (contrairement aux tortueuses déformations irtimidesques habituelles) que je n´ose pas vous donner le titre. Vous l´avez forcément reconnu
@le_neptunien : maintenant que tu nous as proposé ça, je brûle de l´entendre chantée et guitarée, que ce soit l´original ou la version irtimidesque. Combien on te paie pour ça ? Ou la la, faut pas marchander avec moi, demande à mon épicier ce qu´il en pense
@le_neptunien : maintenant que tu nous as proposé ça, je brûle de l´entendre chantée et guitarée, que ce soit l´original ou la version irtimidesque. Combien on te paie pour ça ? Ou la la, faut pas marchander avec moi, demande à mon épicier ce qu´il en pense
tropifan- Nombre de messages : 2447
Localisation : Equateur
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: La chanson réécrite !
Aller, puisque vous insistez ! Enfin, puisque Tropi le demande :tropifan a écrit:@le_neptunien : maintenant que tu nous as proposé ça, je brûle de l´entendre chantée et guitarée, que ce soit l´original ou la version irtimidesque. Combien on te paie pour ça ? Ou la la, faut pas marchander avec moi, demande à mon épicier ce qu´il en pense
_________________
Le_neptunien
Re: La chanson réécrite !
Super !
tropifan- Nombre de messages : 2447
Localisation : Equateur
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: La chanson réécrite !
A proposer à Christian pour le prochain gala !
KTsering- Nombre de messages : 1055
Localisation : En France
Date d'inscription : 04/12/2011
Chanson réécrite n°16
Pour rappel, deux choses à dénicher pour les courageux:
- le titre de la chanson réécrite, beaucoup moins âgée que moi.
+ le nom d'une chanson française beaucoup plus âgée que moi -et son interprète l'est bien plus encore - qui opportuniste s'est glissé dans l'épineuse réécriture.
Chanson réécrite n°16
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler
(Refrain)
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent
Refrain
[...]
Je n'ose ajouter: allez, au bouleauot !
- le titre de la chanson réécrite, beaucoup moins âgée que moi.
+ le nom d'une chanson française beaucoup plus âgée que moi -et son interprète l'est bien plus encore - qui opportuniste s'est glissé dans l'épineuse réécriture.
Chanson réécrite n°16
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler
(Refrain)
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent
Refrain
[...]
Je n'ose ajouter: allez, au boul
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Deux gagnants pour la chanson réécrite, Tropifan et Calicoba
Les mêmes pour le titre de chanson, accompagnés de KTsering.
Les mêmes pour le titre de chanson, accompagnés de KTsering.
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
KTsering n'a pas végété longtemps et a finalement trouvé également la chanson réécrite portant à trois le nombre de gagnants dans la soirée. Chanson qui se trouve dans la liste des chansons du "Quarté tournée"...(et y en a pas 36...ah si, y en a 36)
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
C'est que, vu les températures ambiantes, je suis encore en rythme estival, moi, tel un aï (alias paresseux) suspendu à sa branche.
KTsering- Nombre de messages : 1055
Localisation : En France
Date d'inscription : 04/12/2011
Re: La chanson réécrite !
Le_neptunien a trouvé la chanson à son tour, non sans ramer un peu ... et qu'on se le dise, pour ramer il vaut mieux avoir de bonnes pagaies et du bon bois (de chêne ou de sapin, je ne sais ce qui est le mieux). A moins de faire de lui une guitare pour que l'on puisse chanter, mais ça ne fais pas avancer la barque !
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
On en reste donc à quatre gagnants pour cette réécriture de Mon arbre. C'est bien entendu un score de rentrée, j'en veux au moins 22 la prochaine fois.
Il y avait à trouver dans cet arbre redessiné un peu de Dutronc (forcément) et son Il est cinq heures, Paris s'éveille.
Comme j'ai finalement réécrit toute la chanson, et comme je me suis amusé à enregistrer cette réécriture - essayant de ne pas détourner la musique autant que le texte - en voici la version audio.
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins - Parfois la solitude est préférable au venin
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains - Friand de cette attitude je me mettais en chemin
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés - Fourrageant tranquillité, tout en haut je me perchais
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée - Me délestant de tout raseur je fuyais les quolibets
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix - Escaladant toutes ces branches pour qu'on me foute la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler - Griffonnant sur mes bouquins en toute sérénité
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages - Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures - Mieux caché que personne je vois souvent les professeurs
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur - Venant y siffler leur rogomme à l'abri du vieux directeur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule - Une flasque dans le réticule, sans crainte du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins - Dans un moment d'épuisement loin du trafic parisien
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain - Des volereaux tout hésitants viennent y cacher tout leur butin
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent - Il couvre sous ses racine des histoires qui me fascinent
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages -Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Pourtant résistent au fil des passions des moments tranquilles à l’horizon - Inamovible au fil des saisons il faisait partie de l'horizon
De volontaires discrets, ne parlant pas en l’air - Pour tous ceux qui revenaient il était un repère
Et pour ceux qui reviendront vers la simplicité, les biles volubiles ravalées - Quelques années après nous nus vîmes tressauter en sachant qu'on l'avait arraché
Ils auront le choix de ne pas s’en faire - Le béton ayant remplacé la terre
Si le progrès a mené aux vapeurs et aux déchets - Si le temps m'a égaré il m'arrive de repasser
A des endroits où l’été ne chauffe que des cœurs d’aciers - A l'endroit où il était seule et d'un air dépité
Il peut bien nous apporter quelques silences dorés - Je ne cesse de penser à ce refuge caché
J’espère que la force des voix, même des plus enrouées - J'espère que ta force et ton bois t'amèneront chez le luthier
Qui appelleront sans fracas à beaucoup moins déchanter - Qu'on fasse de toi une guitare pour que l'on puisse chanter
Ne fera pas de fidèles, mais de sincères alliés - Dans la quiétude fidèle que tu m'avais prodigué
Du bois d’or où manquent les feuilles, peu roses sont les nuages - D'en bas je ramasse les feuilles, morose est le paysage
Les forces du son toujours cueillent sur le chemin des otages - Ecorce voilà mon recueil je e serai plus ton otage
Quant aux silences ses accueils souffrent d’éclairs de rage - C'est toi qui a touché le seuil c'est la fin de l'émondage
Mais résolu je fais le deuil du bruit et de la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Il y avait à trouver dans cet arbre redessiné un peu de Dutronc (forcément) et son Il est cinq heures, Paris s'éveille.
Comme j'ai finalement réécrit toute la chanson, et comme je me suis amusé à enregistrer cette réécriture - essayant de ne pas détourner la musique autant que le texte - en voici la version audio.
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins - Parfois la solitude est préférable au venin
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains - Friand de cette attitude je me mettais en chemin
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés - Fourrageant tranquillité, tout en haut je me perchais
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée - Me délestant de tout raseur je fuyais les quolibets
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix - Escaladant toutes ces branches pour qu'on me foute la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler - Griffonnant sur mes bouquins en toute sérénité
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages - Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures - Mieux caché que personne je vois souvent les professeurs
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur - Venant y siffler leur rogomme à l'abri du vieux directeur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule - Une flasque dans le réticule, sans crainte du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins - Dans un moment d'épuisement loin du trafic parisien
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain - Des volereaux tout hésitants viennent y cacher tout leur butin
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent - Il couvre sous ses racine des histoires qui me fascinent
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages -Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Pourtant résistent au fil des passions des moments tranquilles à l’horizon - Inamovible au fil des saisons il faisait partie de l'horizon
De volontaires discrets, ne parlant pas en l’air - Pour tous ceux qui revenaient il était un repère
Et pour ceux qui reviendront vers la simplicité, les biles volubiles ravalées - Quelques années après nous nus vîmes tressauter en sachant qu'on l'avait arraché
Ils auront le choix de ne pas s’en faire - Le béton ayant remplacé la terre
Si le progrès a mené aux vapeurs et aux déchets - Si le temps m'a égaré il m'arrive de repasser
A des endroits où l’été ne chauffe que des cœurs d’aciers - A l'endroit où il était seule et d'un air dépité
Il peut bien nous apporter quelques silences dorés - Je ne cesse de penser à ce refuge caché
J’espère que la force des voix, même des plus enrouées - J'espère que ta force et ton bois t'amèneront chez le luthier
Qui appelleront sans fracas à beaucoup moins déchanter - Qu'on fasse de toi une guitare pour que l'on puisse chanter
Ne fera pas de fidèles, mais de sincères alliés - Dans la quiétude fidèle que tu m'avais prodigué
Du bois d’or où manquent les feuilles, peu roses sont les nuages - D'en bas je ramasse les feuilles, morose est le paysage
Les forces du son toujours cueillent sur le chemin des otages - Ecorce voilà mon recueil je e serai plus ton otage
Quant aux silences ses accueils souffrent d’éclairs de rage - C'est toi qui a touché le seuil c'est la fin de l'émondage
Mais résolu je fais le deuil du bruit et de la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Invité- Invité
Chanson réécrte n°17
Une fois n'est pas coutume, une chanson réécrite du dimanche. Elle est donc allée acheter le pain en survêtement et en voiture dans la boulangerie à 150 mètres de chez elle, est allée à la messe parce qu'elle aime bien l'architecture et que le curé est super sympa, a mangé en famille à midi et d'ailleurs le repas n'est pas fini parce que ça dure toujours des heures dans ces cas-là. Puis la chanson réécrite pensera que demain c'est lundi et aura le fameux coup de blues du dimanche soir. Pour l'aider, envoyez vos dons vos réponses par mp à l'association qui gère la chanson réécrite: moi. Je préviens en revanche que je suis à but lucratif - tant qu'à faire, hein !
Toujours le titre original à trouver + un titre de chanson française qui s'est immiscé dans la réécriture.
Chanson réécrite n°17
L’être humain avait reçu
Tant de richesses en partage
Et de trésors inconnus
Puis survint le gaspillage
Dans l’anarchie ordonnée
Au milieu des bêtes sauvages
La vie ne vaut rien, oui mais
Certains renversent l'adage
Le vent nous apporte un air
Lorsque soufflent par milliers
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Ce sourire que tu croisais
Tous ces aimables visages
Les voilà battus, griffés
Mais ils s’accrochent aux rivages
Un jour le dernier guépard
Disparut, comme un présage
Tout s’efface sous le voile noir
Les sages comme les images
Le vent nous apporte un air
D’espoir, beau à en pleurer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Contera-t-on un jour l’histoire
De ces simples corps, dérisoires
Qui luttaient pour que le grand soir
Ne devienne pas une nuit d’orage
Pour que se tournent d’autres pages
Quand ils entendent l’amer
Mettant les rancœurs en cage
Un geste jamais ne se perd
Tel est leur seul message
Le vent nous apporte un air
De voix un peu éraillées
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Le vent nous apporte un air
De voix qui parlent d’aimer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Toujours le titre original à trouver + un titre de chanson française qui s'est immiscé dans la réécriture.
Chanson réécrite n°17
L’être humain avait reçu
Tant de richesses en partage
Et de trésors inconnus
Puis survint le gaspillage
Dans l’anarchie ordonnée
Au milieu des bêtes sauvages
La vie ne vaut rien, oui mais
Certains renversent l'adage
Le vent nous apporte un air
Lorsque soufflent par milliers
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Ce sourire que tu croisais
Tous ces aimables visages
Les voilà battus, griffés
Mais ils s’accrochent aux rivages
Un jour le dernier guépard
Disparut, comme un présage
Tout s’efface sous le voile noir
Les sages comme les images
Le vent nous apporte un air
D’espoir, beau à en pleurer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Contera-t-on un jour l’histoire
De ces simples corps, dérisoires
Qui luttaient pour que le grand soir
Ne devienne pas une nuit d’orage
Pour que se tournent d’autres pages
Quand ils entendent l’amer
Mettant les rancœurs en cage
Un geste jamais ne se perd
Tel est leur seul message
Le vent nous apporte un air
De voix un peu éraillées
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Le vent nous apporte un air
De voix qui parlent d’aimer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Trois personnes sont montées à bord et ont bien mené leur barque pour la chanson réécrite: KTsering, idavida et Tropifan.
Seule KTsering a pour le moment trouvé le titre de la chansonnette (plutôt souchonette) cachée dans la réécriture, pas la plus connue de son interprète mais j'avais envie de la mettre et ... rien ne vaut l'envie (d'avoir envie...ah non ça c'est Johnny).
Seule KTsering a pour le moment trouvé le titre de la chansonnette (plutôt souchonette) cachée dans la réécriture, pas la plus connue de son interprète mais j'avais envie de la mettre et ... rien ne vaut l'envie (d'avoir envie...ah non ça c'est Johnny).
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
J'avais oublié de faire "pointer" au rang des vainqueurs calicoba, fidèle au poste, qui a trouvé le titre ainsi que la chanson cachée; de même que Le_neptunien un peu plus tard.
Je donnerai les réponses demain et une nouvelle chanson réécrite sera proposée vendredi.
Je donnerai les réponses demain et une nouvelle chanson réécrite sera proposée vendredi.
Invité- Invité
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