La chanson réécrite !

Le_neptunien ne veut pas vous le dire mais il a eu besoin d'indices gros comme un tourbillon du Pakistan...mais oui, il est le sixième gagnant.

une fois n'est pas coutume ...... je vais répondre !!!!

Une fois n'est pas coutume mais, ma foi, j'ai foi en ce que cette fois soit suivie de bien d'autres fois.
Thérèse est donc la gagnante n°7 et je l'en remercie cent fois !

Et voici pour la réponse: Indignez-vous

Je dévorais ce que j’aimais - Je dévore mon steak parfumé
Je buvais des seaux d’eau que le vent - J'engloutis mon soda colorant
De ses bourrasques faisait tomber - Je suis un con, je suis teubé
Mais j’étais vivant, vivant, vivant - Mais je suis content, content, content

Tant pis si je perdais du poids - Me voilà déjà en surpoids
J’avais l’esprit de mes quatorze ans - Et je n'ai que treize ou quatorze ans
C’était pas dur, la joie, tu vois - C'était pas cher la bouffe, tu vois
Suffisait de vivre simplement - Mais c'est bien plus cher maintenant
Obstinément - Eh, les enfants !

Loin des remous - Indignez-vous
Pas avoir à plaire - Pas toujours se taire
Loin des remous - Indignez-vous
Pieds sur terre - Y a de quoi faire
...

A défaut de trouver la chanson mystérieuse
Concoctée à grands soins, et jouée d'habiles mains
Par l'ami Tropifan aux idées sinueuses
Passant sur ce forum l'inspiration me vint

Voici donc en ce jour La chanson réécrite
La dixième du nom, neuvième de mes doigts
Moins doué pour jouer des Poppys les pépites
Que pour les déformer, en témoigne plus bas

Cette réécriture qui n'est pas éthylique
Ni indignée ni digne, futile et sans enjeu
Sinon de divertir les passants du topic
Et peut-être utopiques, auxquels je dis "Bon jeu"


Chanson réécrite n°10

Y en a un qui perche, l’autre qui bondit
Mais tant de gens n’aiment que celui-ci
Qui fait des appels vers le ciel
Aux caméras, un sourire miel

Et l’atmosphère est si généreuse
Un stade de fourmis rieuses
Venues pour se défouler
Le premier de ces hommes attire tous les vivats

Tout pour le premier de ces hommes, que pour le premier de ces hommes
Oublié le deux, oublié le trois
Quand passe le premier de ces hommes, l’attention est au maximum
Et les suivants s’inclinent face au roi

Il fallait un premier, et c'est Calicoba
Qu'il faut féliciter, et je m'incline bas

(Oui, c'est la journée internationale irtimidienne de l'alexandrin)

Aucune idée, je sèche Mais je pourrai toujours dire que c´est par solidarité avec notre poète préféré, pour le consoler de n´avoir pas trouvé la chanson mystérieuse

La mystérieuse est bien plus mystérieuse que la réécrite, bien qu'elle en soit bien proche, réécrite qui a mis ses tenues de gala récemment, soufflerait le fan.
Quant au gala du petit déjeuner d'abeilles gracieuses, il est paraît-il inouï, m'a un jour dit un apiculteur.
Et, s'il n'y a pas un maximum de rimes pour l'homme, cela signifie-t-il que l'homme ne rime à rien ?, pourrait se demander un philosophe un brin (d'herbe) ennuyé et tracassé.

Mais que le fan soit à la fois apiculteur et philosophe, ce ne pourrait se voir que dans un film ou une bande dessinée, bien sûr.

tropifan a écrit:Aucune idée, je sèche Mais je pourrai toujours dire que c´est par solidarité avec notre poète préféré, pour le consoler de n´avoir pas trouvé la chanson mystérieuse

Tropi !! Si même même moi j'ai trouvé du deuxième coup (faut rester honnête), tu peux trouver !! On parle d'homme mais est-ce qu'il n'y a que ça qui compte ?

AHA....AllanB a trouvé à son tour, ainsi que Le_Neptunien et Idavida. Ce qui nous fait quatre gagnants, pour une chanson à un soliste (+ deux ...pas tout à fait solistes).

Tropifan, cessant d'être solidaire, a finalement débusqué à son tour la bonne réponse.

Voilà pour la réponse: Le mini minimum

Y en a un qui perche, l’autre qui bondit - Il y en a qui cherchent des mondes inouïs
Mais tant de gens n’aiment que celui-ci - Oui mais moi je n'aime que celui-ci
Qui fait des appels vers le ciel - S'il y a des abeilles en plein ciel
Aux caméras, un sourire miel - C''est pour s'occuper de mon miel

Et l’atmosphère est si généreuse - Et l'herbe tendre est si généreuse
Un stade de fourmis rieuses - Qu'elle vient me tendre des fourmis gracieuses
Venues pour se défouler - Pour mon petit déjeuner
Le premier de ces hommes attire tous les vivats - Le mini minimum jamais ça ne manquera

Tout pour le premier de ces hommes, que pour le premier de ces hommes - Cherche le mini minimum, le mini mini minimum
Oublié le deux, oublié le trois -Oublie tes ennuis oublie tes tracas
Quand passe le premier de ces hommes, l’attention est au maximum - Avec un mini minimum, un ours est plus heureux qu'un homme
Et les suivants s’inclinent face au roi - Et même si son cousin n'est pas le roi

Voici la n°11 ! Je mets dessous trois indices, en avance, pour ceux qui le souhaitent(ou qui ne trouvent pas) car je ne sais pas si je pourrai beaucoup passer par ici d'ici dimanche soir pour voir les nombreuses bonnes réponses qui me seront adressées.

Chanson réécrite n°11

Pour faire une chanson, il faut en soi
Trouver le feu de bois sans brûler l’arbre
Pour faire ce feu ou parfois un poème
Poème peine, ou bien rebelle
Il faut pour que sorte la peine, à tous
Un coup de pouce, un coup de pouce
Un coup de pouce pour s’ouvrir au monde

Indices:

Je sais pas vous, mais personnellement, je comprends pas les indices ... Mais j'ai trouvé la chanson au 4ème mot ... :p

Ces indices sont parfaitement compréhensibles
Et puis Le_neptunien a trouvé sans, comme tropifan peu après...alors pas besoin de parler des indices de toute façon !

Trèfle à quatre feuilles complété par KTsering et Titiboisco !

Deux vainqueurs de plus avec calicoba et idavida, et avec joie !

La solution, apparemment facile d'après certains et moins selon d'autres, était donc: Il faut une fleur pour faire le monde

Pour faire une chanson, il faut en soi - Pour faire une maison, il faut du bois,
Trouver le feu de bois sans brûler l’arbre - Et pour trouver du bois, il faut un arbre
Pour faire ce feu ou parfois un poème - Pour faire cet arbre il a fallu qu'on sème
Poème peine, ou bien rebelle - Sème une graine, vivante et belle
Il faut pour que sorte la peine, à tous - Pour faire la graine il a fallu que pousse
Un coup de pouce, un coup de pouce - La fleur si douce, la fleur si douce
Un coup de pouce pour s’ouvrir au monde - Il a fallu une fleur pour faire le monde

Pour la douzième, contenant tout mon "amour" pour la capitale certes un peu lointaine à mon cœur. Mais bon, l'essentiel est ailleurs: bon jeu !

Chanson réécrite n°12

Elle est ville lumière mais bien des yeux
Se font aveugles, au moins bigleux
En parcourant ses rues sans fin
Aux Champs Élysées, vieux refrain
Plus rien ne bat au Sacré cœur
Et dans ses murs
Paris se meurt

Elle est ville poussière il faut le dire
Étouffée par les souvenirs
De toutes manières, traversée
Cernée de bitumes bouchés
Elle nous toise de sa hauteur
Mais dans ses murs
Paris se meurt

Calicoba, pour qui les défis sont sans valeur tant il les relève à chaque fois rapidement, est le premier gagnant ! Il est suivi de près par idavida...et de pas très loin par Tropifan le roi du tiercé !

Trois gagnants seulement ? Vous avez de ces manières de ne rien écrire qui fait imaginer le pire. Mais bon, alors que poussent les fleurs, j'espère que fleuriront les rimes en -eur dans d'autres esprits que ces trois là.

Une chance pour les retardataires, le jeu est ouvert encore quelques jours puisqu'il n'y aura pas de n°13 dans la semaine à venir. Non pas que ça porte malheur (tiens, encore une rime en -eur), pourtant.

Bonne semamour, c'est mieux qu'une sem(h)aine ! (Ceci n'est pas un indice)

Elle est... pourtant trouvable cette chanson; d´ailleurs, moi qui ai du mal à retenir les paroles, j´ai réussi, c´est tout dire

Pas la moindre idée. Je sèche.

Passons aux indices de stade 2 (mais pas l'émission) alors. Le soliste est le même que pour la chanson n°10 et bien que n'étant pas du répertoire Poppys traditionnel la chanson est assez incontournable. D'ailleurs elle est, actu oblige, de toutes les sorties depuis un an environ.

KTsering a écrit:Pas la moindre idée. Je sèche.

Irtimid étant d´un naturel aimable, et moi plus ou moins aussi, nos messages fourmillent d´indices