La chanson réécrite !
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Re: La chanson réécrite !
A proposer à Christian pour le prochain gala !
KTsering- Nombre de messages : 1055
Localisation : En France
Date d'inscription : 04/12/2011
Chanson réécrite n°16
Pour rappel, deux choses à dénicher pour les courageux:
- le titre de la chanson réécrite, beaucoup moins âgée que moi.
+ le nom d'une chanson française beaucoup plus âgée que moi -et son interprète l'est bien plus encore - qui opportuniste s'est glissé dans l'épineuse réécriture.
Chanson réécrite n°16
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler
(Refrain)
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent
Refrain
[...]
Je n'ose ajouter: allez, au bouleauot !
- le titre de la chanson réécrite, beaucoup moins âgée que moi.
+ le nom d'une chanson française beaucoup plus âgée que moi -et son interprète l'est bien plus encore - qui opportuniste s'est glissé dans l'épineuse réécriture.
Chanson réécrite n°16
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler
(Refrain)
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent
Refrain
[...]
Je n'ose ajouter: allez, au boul
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Deux gagnants pour la chanson réécrite, Tropifan et Calicoba
Les mêmes pour le titre de chanson, accompagnés de KTsering.
Les mêmes pour le titre de chanson, accompagnés de KTsering.
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
KTsering n'a pas végété longtemps et a finalement trouvé également la chanson réécrite portant à trois le nombre de gagnants dans la soirée. Chanson qui se trouve dans la liste des chansons du "Quarté tournée"...(et y en a pas 36...ah si, y en a 36)
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
C'est que, vu les températures ambiantes, je suis encore en rythme estival, moi, tel un aï (alias paresseux) suspendu à sa branche.
KTsering- Nombre de messages : 1055
Localisation : En France
Date d'inscription : 04/12/2011
Re: La chanson réécrite !
Le_neptunien a trouvé la chanson à son tour, non sans ramer un peu ... et qu'on se le dise, pour ramer il vaut mieux avoir de bonnes pagaies et du bon bois (de chêne ou de sapin, je ne sais ce qui est le mieux). A moins de faire de lui une guitare pour que l'on puisse chanter, mais ça ne fais pas avancer la barque !
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
On en reste donc à quatre gagnants pour cette réécriture de Mon arbre. C'est bien entendu un score de rentrée, j'en veux au moins 22 la prochaine fois.
Il y avait à trouver dans cet arbre redessiné un peu de Dutronc (forcément) et son Il est cinq heures, Paris s'éveille.
Comme j'ai finalement réécrit toute la chanson, et comme je me suis amusé à enregistrer cette réécriture - essayant de ne pas détourner la musique autant que le texte - en voici la version audio.
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins - Parfois la solitude est préférable au venin
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains - Friand de cette attitude je me mettais en chemin
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés - Fourrageant tranquillité, tout en haut je me perchais
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée - Me délestant de tout raseur je fuyais les quolibets
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix - Escaladant toutes ces branches pour qu'on me foute la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler - Griffonnant sur mes bouquins en toute sérénité
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages - Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures - Mieux caché que personne je vois souvent les professeurs
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur - Venant y siffler leur rogomme à l'abri du vieux directeur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule - Une flasque dans le réticule, sans crainte du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins - Dans un moment d'épuisement loin du trafic parisien
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain - Des volereaux tout hésitants viennent y cacher tout leur butin
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent - Il couvre sous ses racine des histoires qui me fascinent
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages -Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Pourtant résistent au fil des passions des moments tranquilles à l’horizon - Inamovible au fil des saisons il faisait partie de l'horizon
De volontaires discrets, ne parlant pas en l’air - Pour tous ceux qui revenaient il était un repère
Et pour ceux qui reviendront vers la simplicité, les biles volubiles ravalées - Quelques années après nous nus vîmes tressauter en sachant qu'on l'avait arraché
Ils auront le choix de ne pas s’en faire - Le béton ayant remplacé la terre
Si le progrès a mené aux vapeurs et aux déchets - Si le temps m'a égaré il m'arrive de repasser
A des endroits où l’été ne chauffe que des cœurs d’aciers - A l'endroit où il était seule et d'un air dépité
Il peut bien nous apporter quelques silences dorés - Je ne cesse de penser à ce refuge caché
J’espère que la force des voix, même des plus enrouées - J'espère que ta force et ton bois t'amèneront chez le luthier
Qui appelleront sans fracas à beaucoup moins déchanter - Qu'on fasse de toi une guitare pour que l'on puisse chanter
Ne fera pas de fidèles, mais de sincères alliés - Dans la quiétude fidèle que tu m'avais prodigué
Du bois d’or où manquent les feuilles, peu roses sont les nuages - D'en bas je ramasse les feuilles, morose est le paysage
Les forces du son toujours cueillent sur le chemin des otages - Ecorce voilà mon recueil je e serai plus ton otage
Quant aux silences ses accueils souffrent d’éclairs de rage - C'est toi qui a touché le seuil c'est la fin de l'émondage
Mais résolu je fais le deuil du bruit et de la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Il y avait à trouver dans cet arbre redessiné un peu de Dutronc (forcément) et son Il est cinq heures, Paris s'éveille.
Comme j'ai finalement réécrit toute la chanson, et comme je me suis amusé à enregistrer cette réécriture - essayant de ne pas détourner la musique autant que le texte - en voici la version audio.
Repoussant l’habitude du goût de tous les venins - Parfois la solitude est préférable au venin
Pour fuir l’infinitude de tous ces débats si vains - Friand de cette attitude je me mettais en chemin
Je cherche tranquillité, et décibels ciblés - Fourrageant tranquillité, tout en haut je me perchais
Coup de klaxon il est cinq heures, Paris s’éveille agitée - Me délestant de tout raseur je fuyais les quolibets
Le brouhaha prend ses aises, et pour avoir la paix - Escaladant toutes ces branches pour qu'on me foute la paix
Je prends mes rêves et bouquins pour en forêt m’exiler - Griffonnant sur mes bouquins en toute sérénité
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages - Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Bien caché rien ne sonne, je ne vois pas passer les heures - Mieux caché que personne je vois souvent les professeurs
Des oiseaux sifflent bien des baumes à l'abri de tout oppresseur - Venant y siffler leur rogomme à l'abri du vieux directeur
Quand modeste est le pécule, jamais peur du ridicule - Une flasque dans le réticule, sans crainte du ridicule
Se tait le bourdonnement, loin des clochers loin des crachins - Dans un moment d'épuisement loin du trafic parisien
Des pluies de mots tout hésitants qui luttent pour se taire en vain - Des volereaux tout hésitants viennent y cacher tout leur butin
Sous les dents et leurs racines, les langues et palais s’obstinent - Il couvre sous ses racine des histoires qui me fascinent
Au bois d’or manque des feuilles, au moins je vois les nuages - Là-haut caché dans les feuilles j'observe le paysage
Les forces du son m’ont à l’œil, gardant milliards d’otages - Écorce fais-moi bon accueil je resterai ton otage
Mon silence n’est qu’un accueil, abri contre les orages -Je ne veux plus toucher le seuil garde-moi je serai sage
Les choses dont je fais le deuil c’est le bruit et la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Pourtant résistent au fil des passions des moments tranquilles à l’horizon - Inamovible au fil des saisons il faisait partie de l'horizon
De volontaires discrets, ne parlant pas en l’air - Pour tous ceux qui revenaient il était un repère
Et pour ceux qui reviendront vers la simplicité, les biles volubiles ravalées - Quelques années après nous nus vîmes tressauter en sachant qu'on l'avait arraché
Ils auront le choix de ne pas s’en faire - Le béton ayant remplacé la terre
Si le progrès a mené aux vapeurs et aux déchets - Si le temps m'a égaré il m'arrive de repasser
A des endroits où l’été ne chauffe que des cœurs d’aciers - A l'endroit où il était seule et d'un air dépité
Il peut bien nous apporter quelques silences dorés - Je ne cesse de penser à ce refuge caché
J’espère que la force des voix, même des plus enrouées - J'espère que ta force et ton bois t'amèneront chez le luthier
Qui appelleront sans fracas à beaucoup moins déchanter - Qu'on fasse de toi une guitare pour que l'on puisse chanter
Ne fera pas de fidèles, mais de sincères alliés - Dans la quiétude fidèle que tu m'avais prodigué
Du bois d’or où manquent les feuilles, peu roses sont les nuages - D'en bas je ramasse les feuilles, morose est le paysage
Les forces du son toujours cueillent sur le chemin des otages - Ecorce voilà mon recueil je e serai plus ton otage
Quant aux silences ses accueils souffrent d’éclairs de rage - C'est toi qui a touché le seuil c'est la fin de l'émondage
Mais résolu je fais le deuil du bruit et de la palabre - La seule chose que je veuille c'est d'être auprès de mon arbre
Invité- Invité
Chanson réécrte n°17
Une fois n'est pas coutume, une chanson réécrite du dimanche. Elle est donc allée acheter le pain en survêtement et en voiture dans la boulangerie à 150 mètres de chez elle, est allée à la messe parce qu'elle aime bien l'architecture et que le curé est super sympa, a mangé en famille à midi et d'ailleurs le repas n'est pas fini parce que ça dure toujours des heures dans ces cas-là. Puis la chanson réécrite pensera que demain c'est lundi et aura le fameux coup de blues du dimanche soir. Pour l'aider, envoyez vos dons vos réponses par mp à l'association qui gère la chanson réécrite: moi. Je préviens en revanche que je suis à but lucratif - tant qu'à faire, hein !
Toujours le titre original à trouver + un titre de chanson française qui s'est immiscé dans la réécriture.
Chanson réécrite n°17
L’être humain avait reçu
Tant de richesses en partage
Et de trésors inconnus
Puis survint le gaspillage
Dans l’anarchie ordonnée
Au milieu des bêtes sauvages
La vie ne vaut rien, oui mais
Certains renversent l'adage
Le vent nous apporte un air
Lorsque soufflent par milliers
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Ce sourire que tu croisais
Tous ces aimables visages
Les voilà battus, griffés
Mais ils s’accrochent aux rivages
Un jour le dernier guépard
Disparut, comme un présage
Tout s’efface sous le voile noir
Les sages comme les images
Le vent nous apporte un air
D’espoir, beau à en pleurer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Contera-t-on un jour l’histoire
De ces simples corps, dérisoires
Qui luttaient pour que le grand soir
Ne devienne pas une nuit d’orage
Pour que se tournent d’autres pages
Quand ils entendent l’amer
Mettant les rancœurs en cage
Un geste jamais ne se perd
Tel est leur seul message
Le vent nous apporte un air
De voix un peu éraillées
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Le vent nous apporte un air
De voix qui parlent d’aimer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Toujours le titre original à trouver + un titre de chanson française qui s'est immiscé dans la réécriture.
Chanson réécrite n°17
L’être humain avait reçu
Tant de richesses en partage
Et de trésors inconnus
Puis survint le gaspillage
Dans l’anarchie ordonnée
Au milieu des bêtes sauvages
La vie ne vaut rien, oui mais
Certains renversent l'adage
Le vent nous apporte un air
Lorsque soufflent par milliers
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Ce sourire que tu croisais
Tous ces aimables visages
Les voilà battus, griffés
Mais ils s’accrochent aux rivages
Un jour le dernier guépard
Disparut, comme un présage
Tout s’efface sous le voile noir
Les sages comme les images
Le vent nous apporte un air
D’espoir, beau à en pleurer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Contera-t-on un jour l’histoire
De ces simples corps, dérisoires
Qui luttaient pour que le grand soir
Ne devienne pas une nuit d’orage
Pour que se tournent d’autres pages
Quand ils entendent l’amer
Mettant les rancœurs en cage
Un geste jamais ne se perd
Tel est leur seul message
Le vent nous apporte un air
De voix un peu éraillées
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Le vent nous apporte un air
De voix qui parlent d’aimer
Des âmes libres qui espèrent
Chercheuses d’humanité
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Trois personnes sont montées à bord et ont bien mené leur barque pour la chanson réécrite: KTsering, idavida et Tropifan.
Seule KTsering a pour le moment trouvé le titre de la chansonnette (plutôt souchonette) cachée dans la réécriture, pas la plus connue de son interprète mais j'avais envie de la mettre et ... rien ne vaut l'envie (d'avoir envie...ah non ça c'est Johnny).
Seule KTsering a pour le moment trouvé le titre de la chansonnette (plutôt souchonette) cachée dans la réécriture, pas la plus connue de son interprète mais j'avais envie de la mettre et ... rien ne vaut l'envie (d'avoir envie...ah non ça c'est Johnny).
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
J'avais oublié de faire "pointer" au rang des vainqueurs calicoba, fidèle au poste, qui a trouvé le titre ainsi que la chanson cachée; de même que Le_neptunien un peu plus tard.
Je donnerai les réponses demain et une nouvelle chanson réécrite sera proposée vendredi.
Je donnerai les réponses demain et une nouvelle chanson réécrite sera proposée vendredi.
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
La réponse: Le voilier noir; quant à la chanson de Souchon cachée, il s'agissait de La vie ne vaut rien
L’être humain avait reçu - L'homme qui avait reçu
Tant de richesses en partage - Toute la mer en partage
Et de trésors inconnus - Vers une étoile inconnue
Puis survint le gaspillage - Serait parti à la nage
Dans l’anarchie ordonnée - Toi qui n'aimait pas parler
Au milieu des bêtes sauvages - Qu'on disait un peu sauvage
La vie ne vaut rien, oui mais - Tu nous auras fait rêver
Certains renversent l'adage - A chacun de tes voyages
Le vent nous apporte un air - Le vent souffle sur la mer
Lorsque soufflent par milliers - Un air que je veux chanter
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Sans toi j'ai le cœur serré
Ce sourire que tu croisais - Ton sourire illuminait
Tous ces aimables visages - Les rides de ton visage
Les voilà battus, griffés - Que la mer avait griffé
Mais ils s’accrochent aux rivages - Comme les dunes de la plage
Un jour le dernier guépard - Un jour le dernier départ
Disparut, comme un présage - Un soir la fin du voyage
Tout s’efface sous le voile noir - A bord du grand voilier noir
Les sages comme les images - Adieu les fous et les sages
Le vent nous apporte un air - Le vent souffle sur la mer
D’espoir, beau à en pleurer - Un air qui nous fait pleurer
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Sans toi j'ai peur de rêver
Contera-t-on un jour l’histoire - Les marins racontent l'histoire
De ces simples corps, dérisoires - De ton bateau de ton courage
Qui luttaient pour que le grand soir - Il était un grand voilier noir
Ne devienne pas une nuit d’orage - Qui fendait la mer et les âges
Pour que se tournent d’autres pages - Et l'ombre est au bout du sillage
Quand ils entendent l’amer - Quand vous entendez la mer
Mettant les rancœurs en cage - La nuit battre les rivages
Aucun geste jamais ne se perd - C'est peut-être lui le solitaire
Tel est leur seul message - Qui lance un dernier message
Le vent nous apporte un air - Le vent souffle sur la mer
De voix un peu éraillées - Un air que je veux chanter
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Sans toi j'ai le cœur serré
Le vent nous apporte un air - le vent souffle sur la mer
De voix qui parlent d’aimer - Un air qui parle d'aimer
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Jamais je ne t'oublierai
L’être humain avait reçu - L'homme qui avait reçu
Tant de richesses en partage - Toute la mer en partage
Et de trésors inconnus - Vers une étoile inconnue
Puis survint le gaspillage - Serait parti à la nage
Dans l’anarchie ordonnée - Toi qui n'aimait pas parler
Au milieu des bêtes sauvages - Qu'on disait un peu sauvage
La vie ne vaut rien, oui mais - Tu nous auras fait rêver
Certains renversent l'adage - A chacun de tes voyages
Le vent nous apporte un air - Le vent souffle sur la mer
Lorsque soufflent par milliers - Un air que je veux chanter
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Sans toi j'ai le cœur serré
Ce sourire que tu croisais - Ton sourire illuminait
Tous ces aimables visages - Les rides de ton visage
Les voilà battus, griffés - Que la mer avait griffé
Mais ils s’accrochent aux rivages - Comme les dunes de la plage
Un jour le dernier guépard - Un jour le dernier départ
Disparut, comme un présage - Un soir la fin du voyage
Tout s’efface sous le voile noir - A bord du grand voilier noir
Les sages comme les images - Adieu les fous et les sages
Le vent nous apporte un air - Le vent souffle sur la mer
D’espoir, beau à en pleurer - Un air qui nous fait pleurer
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Sans toi j'ai peur de rêver
Contera-t-on un jour l’histoire - Les marins racontent l'histoire
De ces simples corps, dérisoires - De ton bateau de ton courage
Qui luttaient pour que le grand soir - Il était un grand voilier noir
Ne devienne pas une nuit d’orage - Qui fendait la mer et les âges
Pour que se tournent d’autres pages - Et l'ombre est au bout du sillage
Quand ils entendent l’amer - Quand vous entendez la mer
Mettant les rancœurs en cage - La nuit battre les rivages
Aucun geste jamais ne se perd - C'est peut-être lui le solitaire
Tel est leur seul message - Qui lance un dernier message
Le vent nous apporte un air - Le vent souffle sur la mer
De voix un peu éraillées - Un air que je veux chanter
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Sans toi j'ai le cœur serré
Le vent nous apporte un air - le vent souffle sur la mer
De voix qui parlent d’aimer - Un air qui parle d'aimer
Des âmes libres qui espèrent - Marin libre et solitaire
Chercheuses d’humanité - Jamais je ne t'oublierai
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Pas de regret pour la chanson de Souchon, je ne la connaissais pas
tropifan- Nombre de messages : 2447
Localisation : Equateur
Date d'inscription : 27/04/2008
Au 18ème dessous (la moitié du 36ème)
Une chanson Poppys qui peut avoir différents noms - selon l'époque à laquelle elle a été chantée. Près de 10 ans - déjà - nous séparent de sa dernière interprétation.
Quant au titre de chanson caché à l'intérieur, c'est une chanson calendrier qui a catapulté son auteur et interprète, à l'aube de sa carrière, dans la catégorie des chanteurs engagés - mais pas que.
(Par contre ça fait deux fois que je parler de nourriture dans une réécriture en peu de temps. Faut peut-être que j'arrête ma grève de la faim ...)
Chanson réécrite n°18
Un an , des choix, un anchois mangé
Et autour du buffet, se presse tout le monde
Un an, des choix, un anchois mangé
Fêtant la nouvelle année, gobant des feuilletés, saucissons, pâtés
Bien habillés, tous les enfants
S’ennuient assez royalement
Pourquoi fêter l’avance du temps ?
C’est bien connu, rien n’va changer
Nouvelle année, même méfaits
Pourquoi fêter l’avance du temps ?
On voit les vils, et les méchants
Leur hypocrisie à l’appel
L’appel du ventre, suivre le vent
Et ils ne veulent qu’un septième ciel
Un an , des choix, un anchois mangé
Et autour du buffet, se presse tout le monde
Un an, des choix, un anchois mangé
Ne serez-vous satisfait
Qu’une fois tout mangé, une fois tout mangé
Combien de foies si bien gavés
Et combien d’oies ainsi tuées ?
Mais vous fêtez l’avance du temps
Dans l’hexagone tant d’à côtés
Des baisers, combien de rejetés ?
Mais vous fêtez l’avance du temps
Dans la fumée des cigarettes
Les cancers s’affutent et s’apprêtent
Résolution, ne plus fumer
Que l’alcool fera oublier
Un an , des choix, un anchois mangé
Tant à avaler
Quant au titre de chanson caché à l'intérieur, c'est une chanson calendrier qui a catapulté son auteur et interprète, à l'aube de sa carrière, dans la catégorie des chanteurs engagés - mais pas que.
(Par contre ça fait deux fois que je parler de nourriture dans une réécriture en peu de temps. Faut peut-être que j'arrête ma grève de la faim ...)
Chanson réécrite n°18
Un an , des choix, un anchois mangé
Et autour du buffet, se presse tout le monde
Un an, des choix, un anchois mangé
Fêtant la nouvelle année, gobant des feuilletés, saucissons, pâtés
Bien habillés, tous les enfants
S’ennuient assez royalement
Pourquoi fêter l’avance du temps ?
C’est bien connu, rien n’va changer
Nouvelle année, même méfaits
Pourquoi fêter l’avance du temps ?
On voit les vils, et les méchants
Leur hypocrisie à l’appel
L’appel du ventre, suivre le vent
Et ils ne veulent qu’un septième ciel
Un an , des choix, un anchois mangé
Et autour du buffet, se presse tout le monde
Un an, des choix, un anchois mangé
Ne serez-vous satisfait
Qu’une fois tout mangé, une fois tout mangé
Combien de foies si bien gavés
Et combien d’oies ainsi tuées ?
Mais vous fêtez l’avance du temps
Dans l’hexagone tant d’à côtés
Des baisers, combien de rejetés ?
Mais vous fêtez l’avance du temps
Dans la fumée des cigarettes
Les cancers s’affutent et s’apprêtent
Résolution, ne plus fumer
Que l’alcool fera oublier
Un an , des choix, un anchois mangé
Tant à avaler
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Deux éminences de ce forum ont trouvé la chanson réécrite: tropifan et KTsering.
Le titre de chanson caché à l'intérieur est en revanche resté caché à leurs yeux, pour l'instant !
Le titre de chanson caché à l'intérieur est en revanche resté caché à leurs yeux, pour l'instant !
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Deux jours déjà ont passé, et idavida et pautel (un nouveau joueur !) rejoignent le camp des vainqueurs pour la chanson réécrite.
Le titre de chanson caché a quant à lui été débusqué par KTsering, qui n'a pas laissé béton.
Le titre de chanson caché a quant à lui été débusqué par KTsering, qui n'a pas laissé béton.
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Cinquième vainqueur avec heinz pour la chanson réécrite.
Et deuxième vainqueur pour le titre caché avec titiboisco !
calicoba portant ce matin dans la foulée ces chiffres à 6 (le nombre de cotés d'un...) et 3 gagnants !
Et deuxième vainqueur pour le titre caché avec titiboisco !
calicoba portant ce matin dans la foulée ces chiffres à 6 (le nombre de cotés d'un...) et 3 gagnants !
Invité- Invité
Réponse n°18
Avec Le_neptunien comme septième et dernier vainqueur, voici pour la réponse: Un an déjà, devenue opportunément en 2003 Trente ans déjà.
Quant au titre caché il s'agissait d'Hexagone, de Renaud, chanson qui elle aussi évoque un an passé - et ce avec une bonne dose de provocation(s)
.
Un an des choix - Un an déjà
Un an , des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé
Et autour du buffet, se presse tout le monde - Depuis que l'on vous chantait il va changer le monde
Un an, des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé
Fêtant la nouvelle année, gobant des feuilletés, saucissons, pâtés - Vous-vous nous expliquer ce qui a changé, ce qui a changé
Bien habillés, tous les enfants - Il y a toujours autant d'enfants
S’ennuient assez royalement - Qui meurent de faim au Pakistan
Pourquoi fêter l’avance du temps ? - Alors qu'avez-vous fait de cet an
C’est bien connu, rien n’va changer - La guerre ici s'est arrêtée
Nouvelle année, même méfaits - Plus loin elle va recommencer
Pourquoi fêter l’avance du temps ? - Alors qu'avez-vous fait de cet an
On voit les vils, et les méchants - On voit les villes manger les champs,
Leur hypocrisie à l’appel - Et les buildings cacher le ciel
L’appel du ventre, suivre le vent - Continuez avant longtemps
Et ils ne veulent qu’un septième ciel - Vous aurez cassé le soleil
Un an , des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé,
Et autour du buffet, se presse tout le monde - Depuis que l'on vous chantait, il va changer le monde.
Un an, des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé,
Ne serez-vous satisfait - C'est sur vous que l'on comptait
Qu’une fois tout mangé, une fois tout mangé - Mais rien n'a changé, non rien n'a changé
Combien de foies si bien gavés - Combien de forêts ont brulé
Et combien d’oies ainsi tuées ? - Combien les routes ont-elles tué ?
Mais vous fêtez l’avance du temps - Alors qu'avez-vous fait de cet an
Dans l’hexagone tant d’à côtés - Et à combien les émigrés
Des baisers, combien de rejetés ? - Sont dans des taudis entassés
Mais vous fêtez l’avance du temps - Alors qu'avez-vous fait de cet an
Dans la fumée des cigarettes - Pour un paquet de cigarettes
Les cancers s’affutent et s’apprêtent - On sauve un homme sur la planète
Résolution, ne plus fumer - Vous n'y avez jamais pensé
Que l’alcool fera oublier - Lorsque vous jouez au tiercé
Un an , des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé,
Tant à avaler - Mais rien n'a changé
Quant au titre caché il s'agissait d'Hexagone, de Renaud, chanson qui elle aussi évoque un an passé - et ce avec une bonne dose de provocation(s)
.
Un an des choix - Un an déjà
Un an , des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé
Et autour du buffet, se presse tout le monde - Depuis que l'on vous chantait il va changer le monde
Un an, des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé
Fêtant la nouvelle année, gobant des feuilletés, saucissons, pâtés - Vous-vous nous expliquer ce qui a changé, ce qui a changé
Bien habillés, tous les enfants - Il y a toujours autant d'enfants
S’ennuient assez royalement - Qui meurent de faim au Pakistan
Pourquoi fêter l’avance du temps ? - Alors qu'avez-vous fait de cet an
C’est bien connu, rien n’va changer - La guerre ici s'est arrêtée
Nouvelle année, même méfaits - Plus loin elle va recommencer
Pourquoi fêter l’avance du temps ? - Alors qu'avez-vous fait de cet an
On voit les vils, et les méchants - On voit les villes manger les champs,
Leur hypocrisie à l’appel - Et les buildings cacher le ciel
L’appel du ventre, suivre le vent - Continuez avant longtemps
Et ils ne veulent qu’un septième ciel - Vous aurez cassé le soleil
Un an , des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé,
Et autour du buffet, se presse tout le monde - Depuis que l'on vous chantait, il va changer le monde.
Un an, des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé,
Ne serez-vous satisfait - C'est sur vous que l'on comptait
Qu’une fois tout mangé, une fois tout mangé - Mais rien n'a changé, non rien n'a changé
Combien de foies si bien gavés - Combien de forêts ont brulé
Et combien d’oies ainsi tuées ? - Combien les routes ont-elles tué ?
Mais vous fêtez l’avance du temps - Alors qu'avez-vous fait de cet an
Dans l’hexagone tant d’à côtés - Et à combien les émigrés
Des baisers, combien de rejetés ? - Sont dans des taudis entassés
Mais vous fêtez l’avance du temps - Alors qu'avez-vous fait de cet an
Dans la fumée des cigarettes - Pour un paquet de cigarettes
Les cancers s’affutent et s’apprêtent - On sauve un homme sur la planète
Résolution, ne plus fumer - Vous n'y avez jamais pensé
Que l’alcool fera oublier - Lorsque vous jouez au tiercé
Un an , des choix, un anchois mangé - Un an déjà, un an est passé,
Tant à avaler - Mais rien n'a changé
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Merci pour la découverte, du grand Renaud ... qu'on aime ou qu'on aime pas !irtimid a écrit:Quant au titre caché il s'agissait d'Hexagone, de Renaud, chanson qui elle aussi évoque un an passé - et ce avec une bonne dose de provocation(s)
_________________
Le_neptunien
Chanson réécrite n°19 - Si seulement elle était jolie !
Voici la chanson réécrite n°19. Pas au programme depuis deux ou trois ans, pas assez récente pour être connue d'un nourrisson mais pas assez vieille pour plonger un connaisseur dans des abîmes de désespoir.
Quant au titre de chanson caché, je donnerai les indices aux copains d'abord, mais uniquement aux personnes d'origines auvergnates: quand on est vil, on est vil.
Chanson réécrite n°19
Trop fun ou trop pieux
Tout village voit passer les deux
Tant de manières de raconter la foi en Dieu
Douloureux, le pieux
Quand des cierges fondent les cires
Le feu parfois est glacé par de froides ires
Trop de gris, de bleus
Parfois on s’accroche à son tour
A l’idée que l’heure viendra du Dieu amour
Les écrits sont sabres
Quand ils ferment les cœurs, les serrent
Quand tout est pierre le temps ne fait rien à l’affaire
Ici, dans cette église
Du village le fiel est absent
Dans les peurs portées par les vents
Ni fun, ni pieux
Un curé cure doucement
Personne n’est mis au ban
Trop fun ou trop pieux
La forme, au fond, importe peu
Les vains débats ne se jouent pas ici, tant mieux
Accouche l’esprit
Ailleurs le futile l’avorte
Et les rations d’adoration ferment les portes
Trop fun ou trop pieux
Près des absides, l’on absout
Pas d’absolu, l’erreur fait partie de nous
Trop fun ou trop pieux
Penser ou croire, vaste question
C’est faire les deux qui représente le grand bond
Ici, on balaie
Péremptoires athées ou croyants
C’est le dogmatisme qui est Satan
Trop fun et trop pieux
Bénitiers et impénitents
Volent ensemble, l’esprit s’ouvrant
Quant au titre de chanson caché, je donnerai les indices aux copains d'abord, mais uniquement aux personnes d'origines auvergnates: quand on est vil, on est vil.
Chanson réécrite n°19
Trop fun ou trop pieux
Tout village voit passer les deux
Tant de manières de raconter la foi en Dieu
Douloureux, le pieux
Quand des cierges fondent les cires
Le feu parfois est glacé par de froides ires
Trop de gris, de bleus
Parfois on s’accroche à son tour
A l’idée que l’heure viendra du Dieu amour
Les écrits sont sabres
Quand ils ferment les cœurs, les serrent
Quand tout est pierre le temps ne fait rien à l’affaire
Ici, dans cette église
Du village le fiel est absent
Dans les peurs portées par les vents
Ni fun, ni pieux
Un curé cure doucement
Personne n’est mis au ban
Trop fun ou trop pieux
La forme, au fond, importe peu
Les vains débats ne se jouent pas ici, tant mieux
Accouche l’esprit
Ailleurs le futile l’avorte
Et les rations d’adoration ferment les portes
Trop fun ou trop pieux
Près des absides, l’on absout
Pas d’absolu, l’erreur fait partie de nous
Trop fun ou trop pieux
Penser ou croire, vaste question
C’est faire les deux qui représente le grand bond
Ici, on balaie
Péremptoires athées ou croyants
C’est le dogmatisme qui est Satan
Trop fun et trop pieux
Bénitiers et impénitents
Volent ensemble, l’esprit s’ouvrant
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Les habitués ont dégainé assez rapidement: après une heure Le_neptunien (en deux minutes chrono) puis tropifan, KTsering et heinz ont donné la bonne réponse.
Le_neptunien et KTsering ajoutant à leur tableau de chasse le titre caché.
Le_neptunien et KTsering ajoutant à leur tableau de chasse le titre caché.
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Deux gagnants de plus pour la chanson réécrite, pour arriver à six en ce samedi loin d'être fini: Thérèse et Pautel. Thérèse a trouvé dans la foulée le titre caché !
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Un dernier double gagnant, calicoba, et voici la solution de cette 19ème chanson réécrite.
Trop jeune ou trop vieux était la chanson réécrite.
Le temps ne fait rien à l'affaire (Georges Brassens), le titre de chanson caché.
A bientôt pour la 20ème !
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Tout village voit passer les deux - Ce monde est partagé en deux
Tant de manières de raconter la foi en Dieu - Mais pas pour ceux qui se comprennent avec les yeux
Douloureux, le pieux - Trop jeune ou trop vieux
Quand des cierges fondent les cires - Ça n'a jamais voulu rien dire
Le feu parfois est glacé par de froides ires - On est vivant tant qu'on a l'âge de sourire
Trop de gris, de bleus - Trop gris ou trop bleu
Parfois on s’accroche à son tour - Quelle est la vraie couleur du jour
A l’idée que l’heure viendra du Dieu amour - C'est chaque fois question de coeur, question d'amour
Les écrits sont sabres - Je connais des arbres
Quand ils ferment les cœurs, les serrent - Plus forts que tous les hivers
Quand tout est pierre le temps ne fait rien à l’affaire - Et des fleurs qui ne supportent pas la lumière
Ici, dans cette église - Il y a des églises
Du village le fiel est absent - Enracinées dans leur printemps
Dans les peurs portées par les vents - Et des ruines qui n'ont pas vingt ans
Ni fun, ni pieux - Trop jeune ou trop vieux
Un curé cure doucement - Laissez-moi rire doucement
Personne n’est mis au ban - Le soleil est un enfant.
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
La forme, au fond, importe peu - Mathusalem était les deux
Les vains débats ne se jouent pas ici, tant mieux - Jérusalem est à la mode et c'est tant mieux
Accouche l’esprit - Trop jeune ou trop vieux
Ailleurs le futile l’avorte - La maxi-jupe est déjà morte
Et les rations d’adoration ferment les portes - Et ça fait deux ou trois cent mille ans qu'on la porte
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Près des absides, l’on absout - Le rock était né avant nous
Pas d’absolu, l’erreur fait partie de nous - Et des martiens le danseront bien après nous
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Penser ou croire, vaste question - Les cheveux courts, les cheveux longs
C’est faire les deux qui représente le grand bond - C'était réglé déjà du temps des pharaons
Ici, on balaie - A force d'aller
Péremptoires athées ou croyants - Contre le vent ou dans le vent
C’est le dogmatisme qui est Satan - On finit par vivre dans du vent
Trop fun et trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Bénitiers et impénitents - De Charlemagne à grand-maman
Volent ensemble, l’esprit s’ouvrant - Nous sommes tous des enfants
Trop jeune ou trop vieux était la chanson réécrite.
Le temps ne fait rien à l'affaire (Georges Brassens), le titre de chanson caché.
A bientôt pour la 20ème !
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Tout village voit passer les deux - Ce monde est partagé en deux
Tant de manières de raconter la foi en Dieu - Mais pas pour ceux qui se comprennent avec les yeux
Douloureux, le pieux - Trop jeune ou trop vieux
Quand des cierges fondent les cires - Ça n'a jamais voulu rien dire
Le feu parfois est glacé par de froides ires - On est vivant tant qu'on a l'âge de sourire
Trop de gris, de bleus - Trop gris ou trop bleu
Parfois on s’accroche à son tour - Quelle est la vraie couleur du jour
A l’idée que l’heure viendra du Dieu amour - C'est chaque fois question de coeur, question d'amour
Les écrits sont sabres - Je connais des arbres
Quand ils ferment les cœurs, les serrent - Plus forts que tous les hivers
Quand tout est pierre le temps ne fait rien à l’affaire - Et des fleurs qui ne supportent pas la lumière
Ici, dans cette église - Il y a des églises
Du village le fiel est absent - Enracinées dans leur printemps
Dans les peurs portées par les vents - Et des ruines qui n'ont pas vingt ans
Ni fun, ni pieux - Trop jeune ou trop vieux
Un curé cure doucement - Laissez-moi rire doucement
Personne n’est mis au ban - Le soleil est un enfant.
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
La forme, au fond, importe peu - Mathusalem était les deux
Les vains débats ne se jouent pas ici, tant mieux - Jérusalem est à la mode et c'est tant mieux
Accouche l’esprit - Trop jeune ou trop vieux
Ailleurs le futile l’avorte - La maxi-jupe est déjà morte
Et les rations d’adoration ferment les portes - Et ça fait deux ou trois cent mille ans qu'on la porte
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Près des absides, l’on absout - Le rock était né avant nous
Pas d’absolu, l’erreur fait partie de nous - Et des martiens le danseront bien après nous
Trop fun ou trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Penser ou croire, vaste question - Les cheveux courts, les cheveux longs
C’est faire les deux qui représente le grand bond - C'était réglé déjà du temps des pharaons
Ici, on balaie - A force d'aller
Péremptoires athées ou croyants - Contre le vent ou dans le vent
C’est le dogmatisme qui est Satan - On finit par vivre dans du vent
Trop fun et trop pieux - Trop jeune ou trop vieux
Bénitiers et impénitents - De Charlemagne à grand-maman
Volent ensemble, l’esprit s’ouvrant - Nous sommes tous des enfants
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
Je risque pas de trouver les titres cachés, je les connais pas
tropifan- Nombre de messages : 2447
Localisation : Equateur
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: La chanson réécrite !
Ah ! Alors tu vois ce que ça fait quand on se retrouve confronté à certaines de tes chansons mystérieuses
Invité- Invité
Re: La chanson réécrite !
@ Tropifan : je ne peux pas croire que tu ne connais pas Le temps ne fait rien à l'affaire !
KTsering- Nombre de messages : 1055
Localisation : En France
Date d'inscription : 04/12/2011
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