Le topic de la Japanimation !
2 participants
Page 1 sur 1
Le topic de la Japanimation !
Aaaaaah, la japanimation, ou japoniaiserie comme le disent si bien les néophites et les ignorants...
Voici donc le topic de la japanimation, des animés japonais en fait, que j'ai envis de vous faire partager. Pour cela, je vais en présenter certains de qualités, et ceux qui sont interessé pour regarder n'auront qu'a me demander ou les trouver. (Si jamais ca interesse quelqu'un).
Déjà, quel rapport entre les pcaif est les animés japonais?
Y en a pas, strictement aucun, c'est juste pour faire un topic d'information pour partager avec les autres un de mes passe temps préférés. (Et d'ailleurs, j'invite tout le monde à en faire de même sur leurs sujets préférés).
Avant de commencer, j'aimerais faire une mise au point sur le "procès" fait aux animés japonais.
NON le monde de l'animation n'est pas le Club dorothé... ou tout du moins... N'es plus et n'était qu'une infirme partie.
Je m'explique.
La majorité des animés du club dorothé qui a détruit la réputation de l'animation japonaise et qu'on trouve encore sur certaines chaines du sat sont :
- Des produits vieux de 20 ans, ce qui explique une animation, un chara design, tout ce genre de truc, de qualité très moyenne.
- Des produits ultra commerciaux : Je ne renie pas l'importance des DBZ, Saint Seya (chevalier du zodiaque), Nickie Larson (City Hunter), Olive et Tom (captain tsubasa) dans l'imaginaire collectif, que ce soit au japon comme en france... Mais il faut savoir qu'il y a une bonne centaine, voir plus, de nouveau animés par an... en connaitre trois, c'est ne rien connaitre de la richesse de l'industrie
- Une adaptation catastrophique : Censure, voix minable, réécriture des dialogues, génériques à la noix... un manque de respect total pour l'œuvre d'origine.
Bref, pour certain, quand on leur parle de dessin animé japonais... Ouch! Ca fait vraiment très mal.
Mais ce qu'on peut dire, c'est que d'une part, la japanim est riche, très très riche, d'autre part, la qualité moyenne a été augmentée depuis 20 ans, et pas qu'un peu pour certaines création, et enfin, c'est comme pour tout, il y a les daubes et les chef d'oeuvre.
Mais avant, pour bien comprendre comment fonctionne le monde de l'animation, quelques bases :
- Les animés japonais, c'est sur pratiquement toutes les chaines, à n'importe quel heure, c'est avec les "drama" (série avec acteur réelle complétement bidon) et les jeux stupides la base de la programmation japonaise... Les animés sont diffusés sur plusieurs chaines en même temps car certaines chaines sont locales et appartiennent à de grand groupe (Par exemple, les animés de TV tokyo se retrouvent sur d'autres chaines à Kyoto, qui ne recoit pas forcément TV Tokyo)
- Il y a des dizaines de studios de productions d'animés, comme I.G prod (Love), Xebex, JC Staff, Gonzo, and so one, and so one, bien plus qu'en europe
- L'animation est en 2D, le japon n'a pas suivis la mode du tout en 3D comme aux us, mais certains studios intègrent un peu de 3D dans des animés en 2D
- Les doubleurs sont aussi chanteurs et il n'est pas rare qu'ils s'occupent de l'introduction et de l'ending et de chanson dans l'animé, bien sur, ce sont de véritable star.
- Les animés sont diffusés au rythme d'un épisode par semaine.
- Un épisode dure en moyenne 24 minutes
- Les saisons font en général 26 épisodes (ou 24) et durent donc 6 mois. Il y a aussi des "demi saisons" de 12/13 épisodes (en réalité, des animés "courts" et aussi des animés plus "longs" qui durent 1 ans avec 52 épisodes. A cela, il faut ajouter les exceptions, qui peuvent durer 37 épisodes (1 saison et demi) et les long runs, c'est à dire des animés qui sont diffusés toutes les semaines pendant des années sans qu'on puisse vraiment parler de saisons. (et c'est le cas des plus célèbres et commerciaux, comme ceux qui étaient diffusés en france à l'époque)
- Les animés sont donc sous formes de saisons télé, mais peuvent sortir directement en dvd (OAV) et la, le nombre d'épisode varient entre 1 et 10, mais ils sont plus longs. (entre 30 et 60 min)
- Il existe enfin des films, et des téléfilms, épisodes uniques au cinéma ou à la télé de plus d'une heure.
- Il existe quatre début de saisons, et donc quatres phases de renouvèlements des grilles : Janvier, Avril (souvent la plus prolifique), Juillet et Octobre. Cela correspond à toutes les fin de demi saison.
- Il y a autant de type d'animé que de publics différents.
- Un animé peut être l'adaptation d'un manga (bd japonaise), d'un roman ou une création pure et dure
On reconnait ainsi trois catégories différentes :
Les shonen, pour les garcons adolescent
Les shojo, pour les filles adolescente
Les seinen, pour les adultes
Dans les shonen, on retrouve les séries les plus commerciales, les principaux types sont :
- L'aventure : Un heros adolescent pas très intelligent qui se bat encore et encore
- L'ecchi : Coquin, humour, filles en sous vetement (certains sont vraiment très bon)
- Le sport
- Les mangas scolaires
- La comédie stupide
Dans le shojo, on retrouve surtout :
- Des histoires d'amours
- Des magicals girls (des filles avec des pouvoirs)
Dans les seinens,
- Du policier
- De la violence "adulte", avec du sang et parfois du sexe
- De la science fiction
...
Après, il y a tout une industrie du "porno", qui existe en manga ou en animé, chaque type de porno animé à son public... Il sera intéressant de voir que les animés homosexuels entre garcon ne sont pas réalisés pour les homosexuels, mais pour les femmes... Bien sur, les relations homosexuelles entre filles sont la pour faire plaisir aux garcons, cela va de sois. et il y a vraiment de très très belles histoires d'amours entre garcon ou filles à la télé qui démontre que le japon est quand même bien plus ouvert sur ce plan la que l'occident. Bon, par contre, niveau sexe, la, ils sont TROP ouvert, ne fouillez pas, tout y passe : pedophilie (garcon, fille, ce que vous voulez), zoophilie, inceste, gang bang, homo, tentacule, sado masochisme, hybrides (mi femme, mi homme), et bien sur parodie erotique de tout ce qu'il existe en animé traditionnel. (Imaginez un animé ou le heros a 10 ans, a un hamster et un chien et vie chez son papy... oui, les japonais OSENT passez ca à la case parodie sexuelle)
Bien sur, je ne conseille à personne de se pencher sur l'industrie du sexe animé/manga, c'est vraiment un autre monde, mais c'est partie intégrante de la bulle "animé" et c'est ce qui fait que l'animation japonaise à si mauvaise réputation en europe.
Mais la, c'est assez caricatural comme séparation... puisqu'en fait, on trouve de tout...
Des animés sur la musique, sur le vin, sur le pain, qui se passent à n'importe quelle époque... En fait, l'animation couvre absoluement tous les sujets, et il est idiot de garder en tête uniquement le côté "club dorothé" et "sexe à gogo" de cette industrie.
Car l'animation japonaise, c'est des animés parfois poétiques, parfois violents, parfois forts, parfois drole... tout le monde peut trouver quelque chose à regarder, quelque chose de bien, et a vrai dire, même si il y a des séparations entre public, on est parfois surpris d'accrocher à un animé pour fille alors qu'on vient de se regarder le meilleurs polar adulte du moment, avant d'enchainer sur le shonen à la mode...
Donc, dans ce topic, je vais vous présentez quelques séries, qui pour moi, méritent d'être vue et qui peuvent donner un autre regard sur l'industrie de l'animation japonaise, comme j'ai moi même découvert réellement ce qu'était ce monde il n'y a que quelques années (après beauuuuuuuuucoup de club dorothé)
Je vais essayer de vous parlez de choses diverses et variés, passés ou en cours, en vous présentant l'histoire, les personnages principaux, le public cible, la qualité globale et mon avis personnel bien sur.
La suite dans un prochain message
Voici donc le topic de la japanimation, des animés japonais en fait, que j'ai envis de vous faire partager. Pour cela, je vais en présenter certains de qualités, et ceux qui sont interessé pour regarder n'auront qu'a me demander ou les trouver. (Si jamais ca interesse quelqu'un).
Déjà, quel rapport entre les pcaif est les animés japonais?
Y en a pas, strictement aucun, c'est juste pour faire un topic d'information pour partager avec les autres un de mes passe temps préférés. (Et d'ailleurs, j'invite tout le monde à en faire de même sur leurs sujets préférés).
Avant de commencer, j'aimerais faire une mise au point sur le "procès" fait aux animés japonais.
NON le monde de l'animation n'est pas le Club dorothé... ou tout du moins... N'es plus et n'était qu'une infirme partie.
Je m'explique.
La majorité des animés du club dorothé qui a détruit la réputation de l'animation japonaise et qu'on trouve encore sur certaines chaines du sat sont :
- Des produits vieux de 20 ans, ce qui explique une animation, un chara design, tout ce genre de truc, de qualité très moyenne.
- Des produits ultra commerciaux : Je ne renie pas l'importance des DBZ, Saint Seya (chevalier du zodiaque), Nickie Larson (City Hunter), Olive et Tom (captain tsubasa) dans l'imaginaire collectif, que ce soit au japon comme en france... Mais il faut savoir qu'il y a une bonne centaine, voir plus, de nouveau animés par an... en connaitre trois, c'est ne rien connaitre de la richesse de l'industrie
- Une adaptation catastrophique : Censure, voix minable, réécriture des dialogues, génériques à la noix... un manque de respect total pour l'œuvre d'origine.
Bref, pour certain, quand on leur parle de dessin animé japonais... Ouch! Ca fait vraiment très mal.
Mais ce qu'on peut dire, c'est que d'une part, la japanim est riche, très très riche, d'autre part, la qualité moyenne a été augmentée depuis 20 ans, et pas qu'un peu pour certaines création, et enfin, c'est comme pour tout, il y a les daubes et les chef d'oeuvre.
Mais avant, pour bien comprendre comment fonctionne le monde de l'animation, quelques bases :
- Les animés japonais, c'est sur pratiquement toutes les chaines, à n'importe quel heure, c'est avec les "drama" (série avec acteur réelle complétement bidon) et les jeux stupides la base de la programmation japonaise... Les animés sont diffusés sur plusieurs chaines en même temps car certaines chaines sont locales et appartiennent à de grand groupe (Par exemple, les animés de TV tokyo se retrouvent sur d'autres chaines à Kyoto, qui ne recoit pas forcément TV Tokyo)
- Il y a des dizaines de studios de productions d'animés, comme I.G prod (Love), Xebex, JC Staff, Gonzo, and so one, and so one, bien plus qu'en europe
- L'animation est en 2D, le japon n'a pas suivis la mode du tout en 3D comme aux us, mais certains studios intègrent un peu de 3D dans des animés en 2D
- Les doubleurs sont aussi chanteurs et il n'est pas rare qu'ils s'occupent de l'introduction et de l'ending et de chanson dans l'animé, bien sur, ce sont de véritable star.
- Les animés sont diffusés au rythme d'un épisode par semaine.
- Un épisode dure en moyenne 24 minutes
- Les saisons font en général 26 épisodes (ou 24) et durent donc 6 mois. Il y a aussi des "demi saisons" de 12/13 épisodes (en réalité, des animés "courts" et aussi des animés plus "longs" qui durent 1 ans avec 52 épisodes. A cela, il faut ajouter les exceptions, qui peuvent durer 37 épisodes (1 saison et demi) et les long runs, c'est à dire des animés qui sont diffusés toutes les semaines pendant des années sans qu'on puisse vraiment parler de saisons. (et c'est le cas des plus célèbres et commerciaux, comme ceux qui étaient diffusés en france à l'époque)
- Les animés sont donc sous formes de saisons télé, mais peuvent sortir directement en dvd (OAV) et la, le nombre d'épisode varient entre 1 et 10, mais ils sont plus longs. (entre 30 et 60 min)
- Il existe enfin des films, et des téléfilms, épisodes uniques au cinéma ou à la télé de plus d'une heure.
- Il existe quatre début de saisons, et donc quatres phases de renouvèlements des grilles : Janvier, Avril (souvent la plus prolifique), Juillet et Octobre. Cela correspond à toutes les fin de demi saison.
- Il y a autant de type d'animé que de publics différents.
- Un animé peut être l'adaptation d'un manga (bd japonaise), d'un roman ou une création pure et dure
On reconnait ainsi trois catégories différentes :
Les shonen, pour les garcons adolescent
Les shojo, pour les filles adolescente
Les seinen, pour les adultes
Dans les shonen, on retrouve les séries les plus commerciales, les principaux types sont :
- L'aventure : Un heros adolescent pas très intelligent qui se bat encore et encore
- L'ecchi : Coquin, humour, filles en sous vetement (certains sont vraiment très bon)
- Le sport
- Les mangas scolaires
- La comédie stupide
Dans le shojo, on retrouve surtout :
- Des histoires d'amours
- Des magicals girls (des filles avec des pouvoirs)
Dans les seinens,
- Du policier
- De la violence "adulte", avec du sang et parfois du sexe
- De la science fiction
...
Après, il y a tout une industrie du "porno", qui existe en manga ou en animé, chaque type de porno animé à son public... Il sera intéressant de voir que les animés homosexuels entre garcon ne sont pas réalisés pour les homosexuels, mais pour les femmes... Bien sur, les relations homosexuelles entre filles sont la pour faire plaisir aux garcons, cela va de sois. et il y a vraiment de très très belles histoires d'amours entre garcon ou filles à la télé qui démontre que le japon est quand même bien plus ouvert sur ce plan la que l'occident. Bon, par contre, niveau sexe, la, ils sont TROP ouvert, ne fouillez pas, tout y passe : pedophilie (garcon, fille, ce que vous voulez), zoophilie, inceste, gang bang, homo, tentacule, sado masochisme, hybrides (mi femme, mi homme), et bien sur parodie erotique de tout ce qu'il existe en animé traditionnel. (Imaginez un animé ou le heros a 10 ans, a un hamster et un chien et vie chez son papy... oui, les japonais OSENT passez ca à la case parodie sexuelle)
Bien sur, je ne conseille à personne de se pencher sur l'industrie du sexe animé/manga, c'est vraiment un autre monde, mais c'est partie intégrante de la bulle "animé" et c'est ce qui fait que l'animation japonaise à si mauvaise réputation en europe.
Mais la, c'est assez caricatural comme séparation... puisqu'en fait, on trouve de tout...
Des animés sur la musique, sur le vin, sur le pain, qui se passent à n'importe quelle époque... En fait, l'animation couvre absoluement tous les sujets, et il est idiot de garder en tête uniquement le côté "club dorothé" et "sexe à gogo" de cette industrie.
Car l'animation japonaise, c'est des animés parfois poétiques, parfois violents, parfois forts, parfois drole... tout le monde peut trouver quelque chose à regarder, quelque chose de bien, et a vrai dire, même si il y a des séparations entre public, on est parfois surpris d'accrocher à un animé pour fille alors qu'on vient de se regarder le meilleurs polar adulte du moment, avant d'enchainer sur le shonen à la mode...
Donc, dans ce topic, je vais vous présentez quelques séries, qui pour moi, méritent d'être vue et qui peuvent donner un autre regard sur l'industrie de l'animation japonaise, comme j'ai moi même découvert réellement ce qu'était ce monde il n'y a que quelques années (après beauuuuuuuuucoup de club dorothé)
Je vais essayer de vous parlez de choses diverses et variés, passés ou en cours, en vous présentant l'histoire, les personnages principaux, le public cible, la qualité globale et mon avis personnel bien sur.
La suite dans un prochain message
Simulacra- Nombre de messages : 2868
Age : 37
Localisation : Ici ou d'ailleurs
Date d'inscription : 27/04/2008
Le topic de la Japanimation (2ème Partie)
Même si le sujet ne déchaine pas les foules, je continue un peu.
Aujourd'hui, je vais parler dune chose... c'est le vocabulaire pour comprendre certaines nuances intraduisibles en francais
Donc, le vocabulaire... Il faut savoir que le japon est un pays ou les codes sont vraiment trèèèèèèèès important.
Ainsi, on utilise que très rarement le prénom au japon... Si en france, les camarades de classe se tutoient et employent le prénom, au japon, de simple camarades se vouvoient et emploie le nom de famille.
En réalité, tout est basé selon la proximité et la familiarité entre les protagonistes.
Il existe ainsi un très grand nombre de "termes", qui correspondent à nos "monsieur / Madame" mais qui ne sont pas traduisible directement en Francais. D'un part parce qu'ils sont nombreux, d'autre part parce qu'ils s'emploient sans réelle distinction de sexe et enfin parce qu'ils sont illogiques dans un animé traduit en Francais. Si Bernard Fabre de Choreolia était un de vos camarades de classe, vous l'appelleriez Bernard, voir en sous titre quelque chose comme "Mr Fabre", alors que vous avez le même age et êtes dans la même classe... C'est complètement illogique, c'est pour cela que les termes sont soit "laissés" en l'état dans les sous titres, sois "adapté" à la mode occidentale, et alors, on perd une partie du sens.
Je vais prendre l'exemple d'une personne qui se nommerait "Sakumi Sato". Ici, Sato serait le prénom et Sakumi le Nom (toujours dans cet ordre la. Voici ce que cela peut donner dans un animé japonais (Les titres, selon la proximité, peuvent s'utiliser avec le nom ou le prénom):
Sakumi-Sama : Le terme Sama signifie "maitre", dans le sens "maitre et serviteurs". Il indique un énorme respect de la part de la personne qui l'utilise. Le nom peut être remplacé par un Titre : Oji, par exemple, pour roi, Kami pour dieu (Kami-Sama)
Sakumi-Sensei : Sensei signifie "professeur", il est donc de mise quand on s'adresse à un professeur
Sakumi-Senpei : Le terme Senpei représente l'ainé... que ce soit à l'école ou dans l'entreprise, l'ainé, est respecté et est au dessus du "kohai", cadet, et on doit s'adresser avec lui avec tact et dignité. S'utilise avec le prénom si on est assez proche de la personne.
Sakumi-San : Monsieur, tout simplement, ou madame quand on l'utilise avec une femme. Quand on est plus proche de la personne, peut s'utiliser avec le prénom.
Sato-Chan : Plus souvent avec le prénom (mais peut aussi l'être avec le nom), il s'emploie à l'origine pour les demoiselles, mais reste beaucoup plus familier que le san. Si il s'utilise donc principalement pour les femmes, il est aussi très utilisé pour les enfants, sans distinction de sexe, mais aussi pour les adultes des deux sexes dans le sens ou il montre une certaine familiarité, ou plutôt, une certaine affection. Par exemple, si on devait choisir quelque chose pour les petits chanteurs, ca serait très certainement Chan (Peut taper sur les nerfs de la personne désigné si elle ne se considère pas proche de la personne l'employant, dans le cas ou elle se considère proche, ca passe tout seul). Ce terme est assez compliqué à comprendre quand on est francais car on voudrait le simplifier en "mademoiselle", ce qui est une erreur, il n'y a pas de traduction. Bref, si il est principalement utilisé pour les jeunes filles et les enfants, on peut l'utiliser avec n'importe qui.
Sato-Kun : Le penchant plus masculin de chan, ne s'emploie que pour les garcons, enfant et adolescent, et les filles du type garçon manqué. Au collège au japon, les garcons amis avec certaines filles utilisent souvent chan, et les filles utilisent kun pour parler aux garcons... Bien sur, si vous êtes proche d'un homme plus jeune que vous que vous connaissez depuis longtemps, vous pouvez utiliser kun... (ou chan, mais la, c'est vraiment ultra proche)
Sato : Sans suffixe... Ca, c'est ultra familier, si vous n'êtes vraiment pas de la famille de la personne ou amoureux ou très proche (genre, amis d'enfance), ce n'est pas utilisable.
Sato-Bozu : Heu... La, c'est plus familier, ca en devient taquin Bozu est un terme utilisé assez rarement, et est donc plutôt quand on veut traiter quelqu'un de crétin.
Bien sur, il en manque, vu que le nombre de suffixe est vraiment impressionnant, vous avez ici les principaux pour bien comprendre les animés, mais sérieusement, ca vient avec le temps, et on voit très bien au bout d'un moment la différence entre les marques de respect.
Bien sur, dans un animé ou les personnages ont deux personnalités (dédoublement de personnalité) avec à chaque fois nom et prénom, et sachant que certaines personnes vont utiliser le nom et d'autre le prénom, avec des suffixes différents, pour savoir de qui on parle, c'est VRAIMENT très très très compliqué...
Surtout qu'il y a aussi, et c'est la ou ca devient comique, les "surnoms", qui sont très employés, et qui eux aussi ont les mêmes préfixes... (San, chan, kun...)
Bien sur, il y a des termes spécifique pour la famille :
Oka san : maman
Oto san : Papa
Oba san : Mamie
Oji san : Papy
Oni-san ou Oni-chan : Grand frère (oui, on utilise le terme "grand frère" pour parlez à son grand frère et pas le prénom, avec le san, c'est très respectueux, avec le chan, très affectif)
Onee-san ou Onee-chan: Grande soeur
Aniki : Frérot, petit frère
Et puis, il y a toujours des termes importants à connaitre
Comme par exemple : Baka, qui veut dire "crétin, idiot" et qui n'est pas toujours traduit (mais on comprend ) ou Kawaï qui veut dire mignon est qui est utilisé tout le temps dès qu'une chose ou personne mignonne est à portée.
Bref, pour bien comprendre un animé jap' (sous titré), il faut avoir connaissance de ces "particularités" qui ne sont pas "traduisibles", par des mots, dans notre langue, mais qui font la richesse et la complexité des rapports humains.
A suivre
Aujourd'hui, je vais parler dune chose... c'est le vocabulaire pour comprendre certaines nuances intraduisibles en francais
Donc, le vocabulaire... Il faut savoir que le japon est un pays ou les codes sont vraiment trèèèèèèèès important.
Ainsi, on utilise que très rarement le prénom au japon... Si en france, les camarades de classe se tutoient et employent le prénom, au japon, de simple camarades se vouvoient et emploie le nom de famille.
En réalité, tout est basé selon la proximité et la familiarité entre les protagonistes.
Il existe ainsi un très grand nombre de "termes", qui correspondent à nos "monsieur / Madame" mais qui ne sont pas traduisible directement en Francais. D'un part parce qu'ils sont nombreux, d'autre part parce qu'ils s'emploient sans réelle distinction de sexe et enfin parce qu'ils sont illogiques dans un animé traduit en Francais. Si Bernard Fabre de Choreolia était un de vos camarades de classe, vous l'appelleriez Bernard, voir en sous titre quelque chose comme "Mr Fabre", alors que vous avez le même age et êtes dans la même classe... C'est complètement illogique, c'est pour cela que les termes sont soit "laissés" en l'état dans les sous titres, sois "adapté" à la mode occidentale, et alors, on perd une partie du sens.
Je vais prendre l'exemple d'une personne qui se nommerait "Sakumi Sato". Ici, Sato serait le prénom et Sakumi le Nom (toujours dans cet ordre la. Voici ce que cela peut donner dans un animé japonais (Les titres, selon la proximité, peuvent s'utiliser avec le nom ou le prénom):
Sakumi-Sama : Le terme Sama signifie "maitre", dans le sens "maitre et serviteurs". Il indique un énorme respect de la part de la personne qui l'utilise. Le nom peut être remplacé par un Titre : Oji, par exemple, pour roi, Kami pour dieu (Kami-Sama)
Sakumi-Sensei : Sensei signifie "professeur", il est donc de mise quand on s'adresse à un professeur
Sakumi-Senpei : Le terme Senpei représente l'ainé... que ce soit à l'école ou dans l'entreprise, l'ainé, est respecté et est au dessus du "kohai", cadet, et on doit s'adresser avec lui avec tact et dignité. S'utilise avec le prénom si on est assez proche de la personne.
Sakumi-San : Monsieur, tout simplement, ou madame quand on l'utilise avec une femme. Quand on est plus proche de la personne, peut s'utiliser avec le prénom.
Sato-Chan : Plus souvent avec le prénom (mais peut aussi l'être avec le nom), il s'emploie à l'origine pour les demoiselles, mais reste beaucoup plus familier que le san. Si il s'utilise donc principalement pour les femmes, il est aussi très utilisé pour les enfants, sans distinction de sexe, mais aussi pour les adultes des deux sexes dans le sens ou il montre une certaine familiarité, ou plutôt, une certaine affection. Par exemple, si on devait choisir quelque chose pour les petits chanteurs, ca serait très certainement Chan (Peut taper sur les nerfs de la personne désigné si elle ne se considère pas proche de la personne l'employant, dans le cas ou elle se considère proche, ca passe tout seul). Ce terme est assez compliqué à comprendre quand on est francais car on voudrait le simplifier en "mademoiselle", ce qui est une erreur, il n'y a pas de traduction. Bref, si il est principalement utilisé pour les jeunes filles et les enfants, on peut l'utiliser avec n'importe qui.
Sato-Kun : Le penchant plus masculin de chan, ne s'emploie que pour les garcons, enfant et adolescent, et les filles du type garçon manqué. Au collège au japon, les garcons amis avec certaines filles utilisent souvent chan, et les filles utilisent kun pour parler aux garcons... Bien sur, si vous êtes proche d'un homme plus jeune que vous que vous connaissez depuis longtemps, vous pouvez utiliser kun... (ou chan, mais la, c'est vraiment ultra proche)
Sato : Sans suffixe... Ca, c'est ultra familier, si vous n'êtes vraiment pas de la famille de la personne ou amoureux ou très proche (genre, amis d'enfance), ce n'est pas utilisable.
Sato-Bozu : Heu... La, c'est plus familier, ca en devient taquin Bozu est un terme utilisé assez rarement, et est donc plutôt quand on veut traiter quelqu'un de crétin.
Bien sur, il en manque, vu que le nombre de suffixe est vraiment impressionnant, vous avez ici les principaux pour bien comprendre les animés, mais sérieusement, ca vient avec le temps, et on voit très bien au bout d'un moment la différence entre les marques de respect.
Bien sur, dans un animé ou les personnages ont deux personnalités (dédoublement de personnalité) avec à chaque fois nom et prénom, et sachant que certaines personnes vont utiliser le nom et d'autre le prénom, avec des suffixes différents, pour savoir de qui on parle, c'est VRAIMENT très très très compliqué...
Surtout qu'il y a aussi, et c'est la ou ca devient comique, les "surnoms", qui sont très employés, et qui eux aussi ont les mêmes préfixes... (San, chan, kun...)
Bien sur, il y a des termes spécifique pour la famille :
Oka san : maman
Oto san : Papa
Oba san : Mamie
Oji san : Papy
Oni-san ou Oni-chan : Grand frère (oui, on utilise le terme "grand frère" pour parlez à son grand frère et pas le prénom, avec le san, c'est très respectueux, avec le chan, très affectif)
Onee-san ou Onee-chan: Grande soeur
Aniki : Frérot, petit frère
Et puis, il y a toujours des termes importants à connaitre
Comme par exemple : Baka, qui veut dire "crétin, idiot" et qui n'est pas toujours traduit (mais on comprend ) ou Kawaï qui veut dire mignon est qui est utilisé tout le temps dès qu'une chose ou personne mignonne est à portée.
Bref, pour bien comprendre un animé jap' (sous titré), il faut avoir connaissance de ces "particularités" qui ne sont pas "traduisibles", par des mots, dans notre langue, mais qui font la richesse et la complexité des rapports humains.
A suivre
Simulacra- Nombre de messages : 2868
Age : 37
Localisation : Ici ou d'ailleurs
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: Le topic de la Japanimation !
comme dans "Kawaïsaki" qui veut dire "mignonne moto" ?ou Kawaï qui veut dire mignon
Yann- Nombre de messages : 471
Localisation : Europe
Date d'inscription : 27/04/2008
Re: Le topic de la Japanimation !
Je ne ferais aucun commentaire
Par contre, je continue mon petit monologue Y a ptet une personne qui le lit alors ca vaut le coup.
Aujourd'hui, je vais vous parler plus en détail des différents styles d'animés qui existent, les genres en fait, et ce qui les caractérise.
On avait donc vu précédemment qu'il y avait bien une centaine de nouveaux animés par ans... et encore, je ne compte pas... et depuis le temps qu'ils font des animés, ils devraient avoir fait le tour non?
Et bien non... les japonais sont imaginatifs, et quand ils ne font pas un remake, une suite, une parodie, ils trouvent toujours un petit quelque chose de nouveau, qui aura ses suites, remakes et parodies bien entendu.
Et surtout, tous les sujets sont bons à être traité et adapté en animé, tant que certaines règles élémentaires sont respectées.
Il y a donc "3" grandes sorte d'animé, et j'en rajouterais deux autres après. Aujourd'hui, on fait la plus importante.
La première, c'est donc le SHONEN
Shonen, manga pour jeunes garcons (comprenez collège/lycée) mais peut bien entendu être regardé par tout le monde.
Souvent, les animés "shonen" sont adaptés des mangas, du même type. Il existe un grand nombre de "magasine" de prépublication des mangas au japon, qui font plusieurs centaines de pages et qui sont hebdo... Les deux principaux magasines sont "le Shonen Jump" qui a vu publier dans ses pages les plus grands manga (comprendre : Dragon Ball et Dragon Ball Z) d'hier et d'aujourd'hui (comprendre : Naruto). Son concurrent principale est le "Weekly Shonen", qui a vu aussi des petites perles, mais moins connus du public occidental.
A noter qu'a la grande époque du Shonen jump, c'était 6 000 000 de copies par semaines qui étaient écoulées :-) Pas mal hein?
Donc le type "shonen" est fait pour les ados, principalement, et est donc le type de manga le plus souvent adapté en animé (le sujet du topic)
Avant de continuer, je vais parler d'un problème qui "tue" la qualité de bien des mangas, et donc, animés.
Même si certains manga sont de véritables oeuvres d'art, quand on parle de shonen, on parle surtout de business... oui, au japon, le manga est un business, et avant de pouvoir faire ce que l'on désire (et donc des oeuvres magistrales), il faut se faire un nom, et pour se faire un nom, il faut surtout fermer sa gueule (surtout dans le shonen)
Qu'on soit bien clair, qu'on parle de manga ou d'animé, très peu d'auteur sont "indépendants", et surtout dans le shonen. En effet, à 6 millions de vente par semaine, vous vous attendiez à quoi?
Déjà, si cela semble logique en animé, les mangas (version papier), eux aussi, ne sont jamais réalisé par une seule personne... En effet, pondre 20 pages par semaine est impossible pour une seule personne normalement constitué, et l'auteur s'entoure donc d'une équipe d'assistant... qui s'occupe des "trames" (c'est à dire la coloration en nuance de gris, les mangas étant en noir et blanc), des décors, des personnages secondaires, et de toutes les taches subalternes. Mais avant de crier au scandale, il est bon de préciser que c'est la même chose bien souvent pour la bd occidentale :-) Roba, Franquin... eux aussi avaient leurs assistants.
Mais si le mangaka qui "signe" son manga est à la tête d'une équipe, il est oui aussi "dirigé" par quelqu'un, le producteur.
Mais ce qui est impressionnante au japon, c'est que le producteur a un droit de regard quasi absolue sur les mangaka, et donc sur l'histoire, les personnages...
Bien sur, quand une série ne "marche pas", le producteur peut décider de l'intérompre (et donc, beaucoup de série n'ont soit pas de fin, soit une fin baclée... merciiiiiii) soit complétement changer l'intrigue...
Il faut savoir qu'a part pour certains manga, ceux des meilleurs, l'intrigue principale est décidé au début, mais le découpage se fait petit à petit, et selon la réaction du public, vous verrez certains personnages prendre plus ou moins d'importance ou le manga effectuer un virage à 180°...
Alors qu'en europe, la bd est sous forme de tome indépendant, au japon, les tomes forment un tout, une histoire complète, qui s'étale sur plusieurs années, et dons la direction est liée à la demande des fans... Et rare sont les auteurs avec assez de renommé qui peuvent d'une part, décider de toute l'histoire et du découpage en sachant qu'il dessineront la fin de ce qu'ils ont prévu dans plusieurs années, et d'autre part, faire ce qu'ils veulent sans qu'on leur casse les couilles. (c'est un peu l'idée)
Le principal exemple de ce genre de "dérive" scénaristique, le plus fameux, c'est Dragon Ball.
Même si c'est sans doute la plus grande réussite commerciale de l'histoire du manga, son auteur n'était pas plus connu que ca à l'origine et à du se plier à ces règles assez absurdes. (Aujourd'hui, il fait partis des grands qui peuvent faire ce qu'ils veulent, grace à dragon ball, et c'est pour ca qu'il ne fait plus d'histoire commerciale, juste des one shot est des parodies... mais il a du payer son statut)
Dragon ball, à l'origine, ca raconte en manga l'histoire du "roi des singes", une vielle légende chinoise très souvent adaptée.
Ca se finit en guerre avec des extraterrestres, des fusions, des boules de feu et des planetes qui explosent, sans oublier les transformations alakon
Oui, on est trèèèèèèèèès loin de l'idée d'origine... Je dirais même plus : Plus aucun rapport, les éléments clé de la légende du roi des singes, c'est le queue de singe, le baton magique et le nuage magique qui permet de voler. Si Sangoky possède tous ces éléments au début du manga, à la fin, il n'a plus de queue, son baton est resté entre deux batiments dans le ciel et il vole sans nuage, beaucoup plus vite d'ailleurs.
Oui, dragon ball est l'exemple type d'histoire qui a complètement dérivée, qui a trainé en longueur, pour des raisons commerciales, et on est très loin de l'idée d'origine... pourtant, aujourd'hui, on considère encore que c'est un des plus grands shonen de l'histoire... késako?
Mais ou est le problème pour les animés du type "shonen" quand ils sont adaptés des mangas? (Le problème ne se pose pas quand les shonen animés sont des oeuvres propres ou tirés de livre.)
Les principaux problèmes sont :
- Quand un manga a du succès, on décide de l'adapter en animé, donc il garde tous les problèmes liés au succès du manga, à savoir :
Une histoire avec souvent un manque de sens
Une histoire qui se perd en longueur
Une histoire ultra commerciale, obéissant aux "codes" du marché
A cela s'ajoute : Le choix du format. Quand on décide d'adapter une série, il y a deux possibilités :Le best seller, qui aura plus de 200 épisodes (naruto, one piece, dragon ball) et sera donc de très mauvaise qualité (pondre un épisode par semaine, bonne chance) avec beaucoup de longueur (faut pas rattraper le manga, sinon, on a plus rien à lire... Sachant qu'il y a un chapitre par semaine, et que dans un épisode de 20 min on peut faire tenir sans problèmes 2/3 chapitres... Et bien il faut réduire à un chapitre = un épisode, bonne sieste)
Le pas best seller, souvent adapté en une saison de 26 épisodes, voir deux... Hors, gros problème, quand on adapte un manga en animé, il nous manque souvent la fin... Soit on décide donc de ne pas "finir", en se disant que le manga a du succès, il y aura une suite, soit on décide d'inventer une fin au bout de 26 épisodes (en gros, au bout de 5/6 tomes du manga, alors qu'il en compte déjà 10...) et la, c'est la catastrophe
Donc bien souvent, le "shonen" adapté d'un manga est proche de catastrophe mercantiliste... ajoutez à ca une mauvaise traduction, une censure complète et des voix de merde, et vous avez le club dorothé.
Mais ceci n'est que la face "cachée" de l'iceberg, puisque comme je l'ai dis, il existe vraiment des perles, beaucoup moins commerciales, avec du sens, des messages, et qui font des animés magnifiques. Ceux la, étant donnée que ce sont des séries "courtes" (En france, à moins de 52 épisodes, ce n'était pas "diffusable" dans le club dorothé) (Et passé les 37 épisodes, il faut fuir)
Bref, le shonen a des codes très important, les principaux sont :
Un héros qui n'était rien (qui commence à zero) mais avec une très grande force ou agilité dans un domaine spécifique et qui va bien entendu finir au top niveau. Toujours un adolescent, ou presque. (Il commence gamin et fini jeune adulte, sauf pour les séries qui trainent vraiment)
Des amis (souvent un garcon une fille) qui le suivent comme des chiens, pour former une équipe, qui sera de plus en plus grande, et qui se modifiera aux grès des allées et venues, avec bien souvent dans les rangs des "gentils", un ancien méchant qui a changé d'avis après c'être fait battre et qui revient à un moment clé du manga pour sauver le heros et qui ne le lache plus (ca arrive dans 90% des shonen, et a chaque fois c'est whaaaaaaaaaaaaa la surpriiiiiiiiiise)
De la baston, que ce soit physique, psychique, ou une lutte sportive, faut qu'il y ait du mouvement
Des personnages à gauche à droite qui ne servent à rien mais qu'on aime bien quand même
Des petites culottes (un peu)
Un grand méchant qui est en réalité le sous boss de fin car il y en a un juste pire derrière. Souvent, le grand méchant est un membre de la famille du héros (on ne se refait pas)
Plein de bons sentiments, genre "c'est mon ami, je dois le sauver, il me donne sa force, je vengerais sa mort, bouhouhousnif, c'est ca le pouvoir de l'amitié) (a force, ca devient vraiment lourdingue)
Avec tous ces éléments, vous avez de quoi faire un bon animé shonen.
Même si c'est une caricature, certains arrivent vraiment, à partir de ces codes, à faire quelque chose de bien, tout est histoire de narration, mais bien souvent, soyons clair, les shonens peuvent se ressembler et être d'assez mauvaise qualité.
Donc, ceci sont les codes principaux des différents shonen.
Par la suite, il y a plusieurs types de shonen différents.
L'aventure/action : Tout ce que je viens de vous décrire: Un jeune heros, des amis, un but, un méchant, plein de rebondissement... Il faut pour faire un bon shonen d'aventure, trouver : une epoque, un lieu, un but au heros, une spécificité (pouvoir surhumains, magie, maniement des armes...) et des règles de physiques exubérantes pour ce monde nouveau. Dans les shonens d'aventure, il n'y a pas de rationalité, et c'est le style le plus apprécié. LEs plus connus sont dragon ball (avec un dragon et des boules) One piece (histoire de pirates) Naruto (histoire de ninja...). La majorité des animés shonen sont de ce type, les plus populaires sont adaptées en série "long run", avec souvent un manque de qualité au niveau de l'animation et une histoire liée à la réceptivité des fans. Ce n'est franchement pas le type d'animé que j'aimerais vous faire découvrir, même si certains "long runs" sont très sympa à suivre (un peu comme un feuilleton amour gloire et beauté, ca se suit semaine après semaine, on peut rater le truc pendant un mois, on est pas pommé quand on reprend). Certains plus courts adaptée en série courte valent le coup, mais ne sont pas commerciales, donc vous ne les verrez jamais en France (sauf en fansub)
Le RPG : Sous genre de l'aventure, la seule différence est qu'on est dans une sorte de jeu... Génial
Le sport : Olive et Tom, vous connaissez? Bienvenu dans le shonen sportif : Exactement les mêmes codes mais avec un balon ou des gants de boxe. La même organisation de l'histoire, un héros, une équipe (surtout en sport collectif, en sport solo, ca sera les membres du club), un but (devenir champion (ou le meilleurs dresseur de pokemon), des adversaires qui deviendront pote avec le heros, ou rival sympatoche.... Et ce pendant des heures et des heures. Le sport collectif met en avant l'amitié, l'esprit d'equipe, le dons de soi pour les autres, le sport solo met en avant le courage, l'abnégation, le caractère, la force d'esprit de la solitude, mais aussi l'amitié car il y a toujours les amis dans les tribunes. Genre vu et revus, adopté à tous les sports existant, sans aucun problème. Certains sortes du lot en prenant comme héros le prof qui monte un club de sport ou le coach, qui va devoir regler tous les problèmes des membres de son équipe pour les mener à la victoire (mais la, on est déjà plus dans le seinen que dans le shonen)
Le mecha : Comme pour l'aventure, sauf qu'on se bat avec des robots, et les fans les collectionnent en miniature. Genre vraiment très populaire au japon, qui ne se souvient pas de goldorack? Ultra connu en france, inapercue dans la masse au japon. Vous en avez vu un, vous les avez presque tous vu. (Je suis allergique à ce style d'animé)
Le ecchi/harem : Un héros looser, entre 12 et 20 ans, se retrouve entouré de filles amoureuses de lui (toute sauf celle qu'il aime). Son but est de faire tomber amoureux la seule qui ne l'aime pas de lui, et a chaque fois qu'il pense que c'est bon, elle en voit une autre embrasser le heros et c'est repartis pour des pleurs jusqu'a ce que le heros puisse enfin sortir avec celle qu'il aime, et pas les autres amoureuses de lui. Bien sur, ca se passe toujours à côté d'un "onsen" source chaude dans laquelle on se lave à poil, et bien entendu, le heros voit toujours les filles à poils et se fait toujours cogner par les filles, en saignant du nez.
Certaines séries sont donc vue et revues, ca suit toujours le même "schema", mais il faut bien dire que les japonais ont de la ressource puisqu'ils arrivent toujours à "dépasser" les codes pour nous sortir des petites perles... Qu'on soit d'accort, sur la masse qui sort chaque année, seule une poignée d'animé méritent d'être regardées, et seule une infime partie est digne d'être considéré comme des chef d'oeuvre. Mais l'animation est beaucoup plus "large" que ce que l'on connait en france, et si la, j'ai utilisé un ton assez négatif, c'est uniquement pour critiquez certains aspect d'une industrie que je n'aime pas et qui cache ce qu'est vraiment la japanimation pour un fan de japanimation : Un certain nombre d'animés créatif, de qualité, à la naration exemplaire, qui sont à mille lieux de l'animé commercial comme on en voit un peu trop.
Voila, la prochaine fois, shojo, seinen et ensuite, je commence à présenter les animés que j'aime bien et qui doivent être vu pour se faire un avis réel sur ce qu'est la japanimation aujourd'hui.
Par contre, je continue mon petit monologue Y a ptet une personne qui le lit alors ca vaut le coup.
Aujourd'hui, je vais vous parler plus en détail des différents styles d'animés qui existent, les genres en fait, et ce qui les caractérise.
On avait donc vu précédemment qu'il y avait bien une centaine de nouveaux animés par ans... et encore, je ne compte pas... et depuis le temps qu'ils font des animés, ils devraient avoir fait le tour non?
Et bien non... les japonais sont imaginatifs, et quand ils ne font pas un remake, une suite, une parodie, ils trouvent toujours un petit quelque chose de nouveau, qui aura ses suites, remakes et parodies bien entendu.
Et surtout, tous les sujets sont bons à être traité et adapté en animé, tant que certaines règles élémentaires sont respectées.
Il y a donc "3" grandes sorte d'animé, et j'en rajouterais deux autres après. Aujourd'hui, on fait la plus importante.
La première, c'est donc le SHONEN
Shonen, manga pour jeunes garcons (comprenez collège/lycée) mais peut bien entendu être regardé par tout le monde.
Souvent, les animés "shonen" sont adaptés des mangas, du même type. Il existe un grand nombre de "magasine" de prépublication des mangas au japon, qui font plusieurs centaines de pages et qui sont hebdo... Les deux principaux magasines sont "le Shonen Jump" qui a vu publier dans ses pages les plus grands manga (comprendre : Dragon Ball et Dragon Ball Z) d'hier et d'aujourd'hui (comprendre : Naruto). Son concurrent principale est le "Weekly Shonen", qui a vu aussi des petites perles, mais moins connus du public occidental.
A noter qu'a la grande époque du Shonen jump, c'était 6 000 000 de copies par semaines qui étaient écoulées :-) Pas mal hein?
Donc le type "shonen" est fait pour les ados, principalement, et est donc le type de manga le plus souvent adapté en animé (le sujet du topic)
Avant de continuer, je vais parler d'un problème qui "tue" la qualité de bien des mangas, et donc, animés.
Même si certains manga sont de véritables oeuvres d'art, quand on parle de shonen, on parle surtout de business... oui, au japon, le manga est un business, et avant de pouvoir faire ce que l'on désire (et donc des oeuvres magistrales), il faut se faire un nom, et pour se faire un nom, il faut surtout fermer sa gueule (surtout dans le shonen)
Qu'on soit bien clair, qu'on parle de manga ou d'animé, très peu d'auteur sont "indépendants", et surtout dans le shonen. En effet, à 6 millions de vente par semaine, vous vous attendiez à quoi?
Déjà, si cela semble logique en animé, les mangas (version papier), eux aussi, ne sont jamais réalisé par une seule personne... En effet, pondre 20 pages par semaine est impossible pour une seule personne normalement constitué, et l'auteur s'entoure donc d'une équipe d'assistant... qui s'occupe des "trames" (c'est à dire la coloration en nuance de gris, les mangas étant en noir et blanc), des décors, des personnages secondaires, et de toutes les taches subalternes. Mais avant de crier au scandale, il est bon de préciser que c'est la même chose bien souvent pour la bd occidentale :-) Roba, Franquin... eux aussi avaient leurs assistants.
Mais si le mangaka qui "signe" son manga est à la tête d'une équipe, il est oui aussi "dirigé" par quelqu'un, le producteur.
Mais ce qui est impressionnante au japon, c'est que le producteur a un droit de regard quasi absolue sur les mangaka, et donc sur l'histoire, les personnages...
Bien sur, quand une série ne "marche pas", le producteur peut décider de l'intérompre (et donc, beaucoup de série n'ont soit pas de fin, soit une fin baclée... merciiiiiii) soit complétement changer l'intrigue...
Il faut savoir qu'a part pour certains manga, ceux des meilleurs, l'intrigue principale est décidé au début, mais le découpage se fait petit à petit, et selon la réaction du public, vous verrez certains personnages prendre plus ou moins d'importance ou le manga effectuer un virage à 180°...
Alors qu'en europe, la bd est sous forme de tome indépendant, au japon, les tomes forment un tout, une histoire complète, qui s'étale sur plusieurs années, et dons la direction est liée à la demande des fans... Et rare sont les auteurs avec assez de renommé qui peuvent d'une part, décider de toute l'histoire et du découpage en sachant qu'il dessineront la fin de ce qu'ils ont prévu dans plusieurs années, et d'autre part, faire ce qu'ils veulent sans qu'on leur casse les couilles. (c'est un peu l'idée)
Le principal exemple de ce genre de "dérive" scénaristique, le plus fameux, c'est Dragon Ball.
Même si c'est sans doute la plus grande réussite commerciale de l'histoire du manga, son auteur n'était pas plus connu que ca à l'origine et à du se plier à ces règles assez absurdes. (Aujourd'hui, il fait partis des grands qui peuvent faire ce qu'ils veulent, grace à dragon ball, et c'est pour ca qu'il ne fait plus d'histoire commerciale, juste des one shot est des parodies... mais il a du payer son statut)
Dragon ball, à l'origine, ca raconte en manga l'histoire du "roi des singes", une vielle légende chinoise très souvent adaptée.
Ca se finit en guerre avec des extraterrestres, des fusions, des boules de feu et des planetes qui explosent, sans oublier les transformations alakon
Oui, on est trèèèèèèèèès loin de l'idée d'origine... Je dirais même plus : Plus aucun rapport, les éléments clé de la légende du roi des singes, c'est le queue de singe, le baton magique et le nuage magique qui permet de voler. Si Sangoky possède tous ces éléments au début du manga, à la fin, il n'a plus de queue, son baton est resté entre deux batiments dans le ciel et il vole sans nuage, beaucoup plus vite d'ailleurs.
Oui, dragon ball est l'exemple type d'histoire qui a complètement dérivée, qui a trainé en longueur, pour des raisons commerciales, et on est très loin de l'idée d'origine... pourtant, aujourd'hui, on considère encore que c'est un des plus grands shonen de l'histoire... késako?
Mais ou est le problème pour les animés du type "shonen" quand ils sont adaptés des mangas? (Le problème ne se pose pas quand les shonen animés sont des oeuvres propres ou tirés de livre.)
Les principaux problèmes sont :
- Quand un manga a du succès, on décide de l'adapter en animé, donc il garde tous les problèmes liés au succès du manga, à savoir :
Une histoire avec souvent un manque de sens
Une histoire qui se perd en longueur
Une histoire ultra commerciale, obéissant aux "codes" du marché
A cela s'ajoute : Le choix du format. Quand on décide d'adapter une série, il y a deux possibilités :Le best seller, qui aura plus de 200 épisodes (naruto, one piece, dragon ball) et sera donc de très mauvaise qualité (pondre un épisode par semaine, bonne chance) avec beaucoup de longueur (faut pas rattraper le manga, sinon, on a plus rien à lire... Sachant qu'il y a un chapitre par semaine, et que dans un épisode de 20 min on peut faire tenir sans problèmes 2/3 chapitres... Et bien il faut réduire à un chapitre = un épisode, bonne sieste)
Le pas best seller, souvent adapté en une saison de 26 épisodes, voir deux... Hors, gros problème, quand on adapte un manga en animé, il nous manque souvent la fin... Soit on décide donc de ne pas "finir", en se disant que le manga a du succès, il y aura une suite, soit on décide d'inventer une fin au bout de 26 épisodes (en gros, au bout de 5/6 tomes du manga, alors qu'il en compte déjà 10...) et la, c'est la catastrophe
Donc bien souvent, le "shonen" adapté d'un manga est proche de catastrophe mercantiliste... ajoutez à ca une mauvaise traduction, une censure complète et des voix de merde, et vous avez le club dorothé.
Mais ceci n'est que la face "cachée" de l'iceberg, puisque comme je l'ai dis, il existe vraiment des perles, beaucoup moins commerciales, avec du sens, des messages, et qui font des animés magnifiques. Ceux la, étant donnée que ce sont des séries "courtes" (En france, à moins de 52 épisodes, ce n'était pas "diffusable" dans le club dorothé) (Et passé les 37 épisodes, il faut fuir)
Bref, le shonen a des codes très important, les principaux sont :
Un héros qui n'était rien (qui commence à zero) mais avec une très grande force ou agilité dans un domaine spécifique et qui va bien entendu finir au top niveau. Toujours un adolescent, ou presque. (Il commence gamin et fini jeune adulte, sauf pour les séries qui trainent vraiment)
Des amis (souvent un garcon une fille) qui le suivent comme des chiens, pour former une équipe, qui sera de plus en plus grande, et qui se modifiera aux grès des allées et venues, avec bien souvent dans les rangs des "gentils", un ancien méchant qui a changé d'avis après c'être fait battre et qui revient à un moment clé du manga pour sauver le heros et qui ne le lache plus (ca arrive dans 90% des shonen, et a chaque fois c'est whaaaaaaaaaaaaa la surpriiiiiiiiiise)
De la baston, que ce soit physique, psychique, ou une lutte sportive, faut qu'il y ait du mouvement
Des personnages à gauche à droite qui ne servent à rien mais qu'on aime bien quand même
Des petites culottes (un peu)
Un grand méchant qui est en réalité le sous boss de fin car il y en a un juste pire derrière. Souvent, le grand méchant est un membre de la famille du héros (on ne se refait pas)
Plein de bons sentiments, genre "c'est mon ami, je dois le sauver, il me donne sa force, je vengerais sa mort, bouhouhousnif, c'est ca le pouvoir de l'amitié) (a force, ca devient vraiment lourdingue)
Avec tous ces éléments, vous avez de quoi faire un bon animé shonen.
Même si c'est une caricature, certains arrivent vraiment, à partir de ces codes, à faire quelque chose de bien, tout est histoire de narration, mais bien souvent, soyons clair, les shonens peuvent se ressembler et être d'assez mauvaise qualité.
Donc, ceci sont les codes principaux des différents shonen.
Par la suite, il y a plusieurs types de shonen différents.
L'aventure/action : Tout ce que je viens de vous décrire: Un jeune heros, des amis, un but, un méchant, plein de rebondissement... Il faut pour faire un bon shonen d'aventure, trouver : une epoque, un lieu, un but au heros, une spécificité (pouvoir surhumains, magie, maniement des armes...) et des règles de physiques exubérantes pour ce monde nouveau. Dans les shonens d'aventure, il n'y a pas de rationalité, et c'est le style le plus apprécié. LEs plus connus sont dragon ball (avec un dragon et des boules) One piece (histoire de pirates) Naruto (histoire de ninja...). La majorité des animés shonen sont de ce type, les plus populaires sont adaptées en série "long run", avec souvent un manque de qualité au niveau de l'animation et une histoire liée à la réceptivité des fans. Ce n'est franchement pas le type d'animé que j'aimerais vous faire découvrir, même si certains "long runs" sont très sympa à suivre (un peu comme un feuilleton amour gloire et beauté, ca se suit semaine après semaine, on peut rater le truc pendant un mois, on est pas pommé quand on reprend). Certains plus courts adaptée en série courte valent le coup, mais ne sont pas commerciales, donc vous ne les verrez jamais en France (sauf en fansub)
Le RPG : Sous genre de l'aventure, la seule différence est qu'on est dans une sorte de jeu... Génial
Le sport : Olive et Tom, vous connaissez? Bienvenu dans le shonen sportif : Exactement les mêmes codes mais avec un balon ou des gants de boxe. La même organisation de l'histoire, un héros, une équipe (surtout en sport collectif, en sport solo, ca sera les membres du club), un but (devenir champion (ou le meilleurs dresseur de pokemon), des adversaires qui deviendront pote avec le heros, ou rival sympatoche.... Et ce pendant des heures et des heures. Le sport collectif met en avant l'amitié, l'esprit d'equipe, le dons de soi pour les autres, le sport solo met en avant le courage, l'abnégation, le caractère, la force d'esprit de la solitude, mais aussi l'amitié car il y a toujours les amis dans les tribunes. Genre vu et revus, adopté à tous les sports existant, sans aucun problème. Certains sortes du lot en prenant comme héros le prof qui monte un club de sport ou le coach, qui va devoir regler tous les problèmes des membres de son équipe pour les mener à la victoire (mais la, on est déjà plus dans le seinen que dans le shonen)
Le mecha : Comme pour l'aventure, sauf qu'on se bat avec des robots, et les fans les collectionnent en miniature. Genre vraiment très populaire au japon, qui ne se souvient pas de goldorack? Ultra connu en france, inapercue dans la masse au japon. Vous en avez vu un, vous les avez presque tous vu. (Je suis allergique à ce style d'animé)
Le ecchi/harem : Un héros looser, entre 12 et 20 ans, se retrouve entouré de filles amoureuses de lui (toute sauf celle qu'il aime). Son but est de faire tomber amoureux la seule qui ne l'aime pas de lui, et a chaque fois qu'il pense que c'est bon, elle en voit une autre embrasser le heros et c'est repartis pour des pleurs jusqu'a ce que le heros puisse enfin sortir avec celle qu'il aime, et pas les autres amoureuses de lui. Bien sur, ca se passe toujours à côté d'un "onsen" source chaude dans laquelle on se lave à poil, et bien entendu, le heros voit toujours les filles à poils et se fait toujours cogner par les filles, en saignant du nez.
Certaines séries sont donc vue et revues, ca suit toujours le même "schema", mais il faut bien dire que les japonais ont de la ressource puisqu'ils arrivent toujours à "dépasser" les codes pour nous sortir des petites perles... Qu'on soit d'accort, sur la masse qui sort chaque année, seule une poignée d'animé méritent d'être regardées, et seule une infime partie est digne d'être considéré comme des chef d'oeuvre. Mais l'animation est beaucoup plus "large" que ce que l'on connait en france, et si la, j'ai utilisé un ton assez négatif, c'est uniquement pour critiquez certains aspect d'une industrie que je n'aime pas et qui cache ce qu'est vraiment la japanimation pour un fan de japanimation : Un certain nombre d'animés créatif, de qualité, à la naration exemplaire, qui sont à mille lieux de l'animé commercial comme on en voit un peu trop.
Voila, la prochaine fois, shojo, seinen et ensuite, je commence à présenter les animés que j'aime bien et qui doivent être vu pour se faire un avis réel sur ce qu'est la japanimation aujourd'hui.
Simulacra- Nombre de messages : 2868
Age : 37
Localisation : Ici ou d'ailleurs
Date d'inscription : 27/04/2008
Sujets similaires
» Le Topic Himalaya
» JO : Le topic des chauvins
» Le topic des images droles, insolites, ...
» Précision pour ce topic
» Le topic des belles voitures...
» JO : Le topic des chauvins
» Le topic des images droles, insolites, ...
» Précision pour ce topic
» Le topic des belles voitures...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum