Concert du 10 juillet à l'Île Rousse (Tournée 2010 en Corse)

Avant-concert

Etant d'une famille qui préfère la fraîcheur du Nord à la châleur du Sud, ce dernier m'était quasiment inconnu. Autant faire les choses jusqu'au bout, mon premier job (en remplacement) fut donc au cœur de la citée phocéenne, Marseille. Là, une envie, comme un défi germât en moi … et si …. Et si je poussais jusqu'en Corse ?! Je n'ai jamais su vraiment pourquoi mais mes parents on toujours eu une dent contre l'Île de Beauté et ses habitants. Cela ne m'empêcha pas de laisser tous mes préjugés sur le continent. En plus, l'occasion était belle : les Petits Chanteurs d'Asnières y étaient !

La tâche ne fut pas aisée et je dû batailler pour trouver à me loger. Sur les excellents conseils d'Hover (que je remercie du fond du cœur), j’optais pour le camping et allais donc acheter le matériel nécessaire. Après d'âpres négociations avec mon directeur, qui se finirent en demi-teinte en raison d'une fâcheuse erreur de ma part, j’achetai enfin mon billet. Je partis le vendredi soir de Marseille et profita de la traversée pour faire connaissance sommairement avec un ou deux passagers. C'est là un avantage à voyager seul : on est plus ouvert aux autres. Arrivée à l'Île Rousse au petit matin, je me dirigeais vers le camping où tout le monde dormait encore. Cela me laissait le temps de reprendre mes esprits et de choisir le meilleur emplacement quelques heures plus tard. La vue imprenable sur la mer m'imposait la baignade, comment résister ? Je redescendis en ville un peu plus tard dans la journée pour prendre mon dessert et dire bonjour à l'Office de Tourisme. J'en profitai pour les tester et fut heureux d'apprendre, après avoir posé les bonnes questions, que les Poppys étaient en ville ce soir (oufff !). Attention, pas de favoritisme, le ton était informatif… Afin de parfaire ma culture et de joindre l'utile à l'agréable, j’empruntai le train touristique qui me mena sur l'Île de la Pietra et m'appris que :

• Paoli à une place et un buste à son effigie
  
• Le majestueux hôtel Napoléon Bonaparte date de 1925
  
• Le square Rossi fut inauguré par le chanteur en personne
  
• La vue depuis le phare est superbement-magnifiquement-splendide !

La caractéristique du camping que je retiendrai est la proximité : cela implique d'être discret pour ne pas déranger l'autre mais aussi de pouvoir profiter du fauteuil du voisin. La convivialité s'imposa et je fis la connaissance de Serge dont la femme arrivait le lendemain et qui ne cachait pas un léger ennui depuis un mois qu'il était là. Plus tard, je m’installais confortablement dans un de ses fauteuils, face à la mer avec un bon livre … (note de musique) "bonheur, bonheur" (notes de musique).

Au milieu de mon histoire, quand il lui avoue enfin son amour … une musique que je reconnu m'interrompit. Les PCAIF ? ! Je pris cela pour un rêve et me replongeais dans les déclarations de mon protagoniste. Là, c'en est trop, c'est bien eux ! Je compris plus tard que l'orchestre se mettait effectivement en place et faisait la balance. Cela me décida à descendre et les rejoindre sur la fameuse place Paoli. Après avoir salué Maxime (quelque peu surpris de me voir là) et transmit un message de la plus haute importance à Florian de la part de son père, je m’installais tranquillement à la terrasse d'une brasserie avec : un petit pastis, une pizza, mes notes à commencer de rédiger et la balance du chœur… Je vous le disais bien : (note de musique) "bonheur, bonheur" (notes de musique). Durant cette attente insoutenable (humour), j'appris aussi que, à la pétanque, "tirer" signifiait sortir la boule de l'autre alors que "pointer" signifiait se rapprocher du cochonnet.


Première partie

Nos artistes montèrent sur scène avec un quart d'heure corse de retard et sous les applaudissements. Certains se sont même permis d'être en retard, in-na-dmi-ssible ! (Humour, bien sûr).

Pierre ouvrit le bal en « Chasseur d'arc-en-ciel ». Je l'y ai trouvé plus fluide au début mais il sembla, malheureusement, se raidir un peu sur la fin du chant. Pour mon plus grand plaisir, l'orchestre était un peu moins présent et ne couvrait aucunement les voix comme je l'ai souvent regretté. Pierre nous offrit des "i_" très appuyés que je ne connaissais pas et, ma foi, bien sympathiques. Je me rendis compte à ce moment là que les uniformes avait quelque peu changé de ce que je connaissais. La chemise du chœur s'est transformée en polo (blanc) et le pantalon de toile noir en jean. Tu vois, Jasmine, ils ont du te lire. L'orchestre était tout de noir vêtu et Christian mixait les deux avec un polo blanc et un pantalon noir.

Christian pris le micro et rappela (N.B.) qu'ils étaient déjà venu et revenaient à chaque fois avec plaisir. Il annonça le programme avec des chants de PCAIF, des titres de variété, des chansons de célébrités puis les Poppys. Il rendit hommage à Monsieur Jean Amoureux en rappelant qu'il nous avait quitté en septembre mais que son vœu (à Jean) était que l'aventure devait continuer. Puis il annonça le chant suivant que vous aurez deviné.

Thomas L. et Alan rejoignirent l’avant-scène pour dire « Merci [à] Jean », suivit par Thomas B. et Laurent qui utilisèrent toute la puissance de leur voix. Vincent et Aymard prirent le relais pour laisser le final à Pierre, les yeux rivés au ciel. L’interprétation était émouvante mais sans tristesse, simplement emplie d’affection.

« Tu pose une pierre » fut interprété par un Thomas L. très énregique et quasiment euphorique par moment. Malgré un petit tour sur lui-même le public resta passif, discutant un peu, applaudissant sobrement. Pas facile de les chauffer à l'Île Rousse !

« Trop jeune ou trop vieux » vit défiler Thomas L., Clément, Alan, Thomas B., Nicolas Pa. et Florian. Tous fidèles à eux-mêmes et Florian avec son sourire d’ange jusqu’aux oreilles, très communicatif.

Pierre revint avec « Un cœur tout neuf ». Son chant fut motivé et plus puissant que d’habitude mais les gestes restèrent difficilement fluides.

Le petit robot, comme j’aime l’appeler de façon affective (et surtout pas péjorative !) ne fit qu’un aller-retour dans le chœur pour rejoindre Florian et Alan avec « Tous les enfants ont les yeux bleus ». La chaleur, encore 31° C à 22 h se faisait lourde sur les épaules de nos chanteurs et la fatigue s’invitaient sur certains visages

La septième chanson me toucha beaucoup : Louis chanta « J'te demande pas » avec une grande sincérité et en articulant à merveille. Les paroles étaient bien nettes ce qui ne rendait la chanson que plus belle. Sûrement intimidé, il resta un peu statique, pour sa défense la chanson n'invite pas a gesticuler. Après un petit loupé sur le final (qui aurait mérité d'être repris) et qu'il tenta de partir avec le micro, le public le salua dignement.

En habitué, Alan repris l'« Hymne à l'Amour » qu'il maitrise parfaitement. Il feint même de ne pas voir que Christian lui laissait les paroles à vue… L'interprétation était belle mais peut-être un peu empressée, tout comme l'orchestre qui démarra plus tôt que je ne m'y attendais. Cependant, cette dernière impression fut démentie par la suite par Maxime. Le final a capela fut très apprécié par un public enthousiasme applaudissant longuement.

Christian repris le micro pour faire remarquer que nous n'étions pas loin de la côte et qu'ils en avaient profité cet après-midi. Humoristiquement, il recompta les chanteurs espérant n'en avoir perdu aucun. Ce rappel de notre proximité à la mer lui permit de lancer …

« De Bretagne ou d'Ailleurs » Thomas L. se montra tout sourire et motivé quand son compagnon de chant, Alan, laissait paraître ce que je pris pour de la fatigue. Leur chant (à chacun d'eux) était d'une justesse intéressant et fut également apprécié.

Florian et Clément montrèrent, sur « Comandant de la Calypso », une tendre complicité de chant et cela accentuait la fluidité de la chanson.

La chanson suivante, fut pour moi, une découverte. Pierre et Alan commencèrent alternativement sur un texte parlé puis finirent en chœur et en chantant leur « Voyage ». Cette première écoute m'a inspiré l'envie de la réentendre pour vraiment me faire un jugement.

Pour nos chanteurs et beaucoup d'entre nous, la Corse est au « Sud ». C'est donc tout naturellement qu’ils interprétèrent cette chanson de Nino Ferrer. Nicolas Pa. commença d'une voix mélodieuse et calme. Thomas B. continua avec une intonation très appréciée, plus profonde et en terminant sur des "tilitititi" assez amusants. Thomas L. conclu avec d'avantage de légèreté sur le passage de la guerre. J'imagine que Thomas B. aurait réussit à nous extraire quelques larmes sur ce dernier passage …

S'en était bientôt finit de la première partie et Christian rappela que des CD étaient en vente. Je croyais avoir quelques minutes pour me relire et vagabonder mais c'était sans compter sur la dernière chanson avant l'entracte.

« Vivre ! » Je pense que Clément, Thomas L. et Thomas B. ont bien compris le sens des paroles. Pour mon plus grand plaisir, ils l'ont interprétée avec une puissance, une énergie et un rythme défiant toute concurrence. Une chanson que je ne connaissais pas encore et qu'elle fût, sans nul doute, un vrai coup de cœur ! Que du bonheur, je veux la réécouter !!


Entracte

Le plus beau est que cette chanson est tombée sur un « pic d’audience ». Une partie du public s’étant arrêter en passant ou ayant été attiré par la musique. Comme beaucoup sont restés debout, tous n’attendèrent malheureusement pas la deuxième partie. D'après un comptage attentif mais sans expérimentation, j'ai compté près de 600 personnes. Christian, lui, a estimé le public à 4 000 oreilles … et veux bien lui laisser le bénéfice du doute, il s'y connait bien mieux que moi ! Toujours est-il qu'il n'y avait que 200 chaises.

Au niveau des uniformes, le classique repris le dessus avec les célèbres polos de couleurs et pantalon blanc pour les chanteurs. L'orchestre ne changea rien et Christian inversa les couleurs. Au sujet des polos, j'aimerais bien savoir si les couleurs ont une signification et/ou si quelqu'un (eux ou un autre) décide des couleurs de chacun des chanteurs …


Deuxième partie

La deuxième partie débuta avec des voix d'hommes, Jhos et Cliff, nous interprétant « Mr Sunshine ». On voyait qu’ils prenaient du plaisir et jouaient presque sur scène. De vrais gamins, mais si amusants !

Christian nous rappela à ce moment là que les PCAIF essaient de faire passer des messages dans leurs chansons. C'est pourquoi ils ont chanté avec Pascal Obispo des chants écologiques et engagés. Par la suite, il rendit hommage à Mickael Jackson en lançant la chanson suivante.

Thomas L., Pierre et Nicolas Pa. s'avancèrent pour chanter la version francisée de « Heal the World ». L'image sur scène était assez amusante car (le petit) Pierre s'emblait encadré par ses deux confrères. Ce n'est pas pour autant qu'il se laissa dépasser et fît preuve d'un dynamisme étonnant et agréable. Nicolas Pa. semblait d'avantage intimidé voir réservé, peut-être n'était-il pas sûr de lui ?

Thomas B. et son « Alléluia Maman ! » : Quand je vous parle de voix puissante, celle-ci en est le parfait exemple. Il y met tellement de cœur que j'ai ressenti sa chanson résonner en moi avec force, et bien sûr une tendre pensée me vint pour ma chère maman (à qui j'avais passé un coup de téléphone depuis la plage la matin même alors qu'elle travaillait …). Alan, qui vint rejoindre son camarade, n'était pas en reste en terme de puissance et de tendresse.

Quelle belle chanson, nous fît remarquer Christian. Mais cela ne devait pas nous faire oublier qu'il existait aussi des Papas. Ils étaient sûrement bien occupés en ce moment avec … la Coupe du Monde de Football ! Il peut se passer plein de malheurs, ils ne voient rien. D'ailleurs, les papas devaient sûrement être devant au début du concert. Christian se retourna vers ses chanteurs pour leur demander ce que c'était (comme match) ce soir et la réponse fusa : Allemagne contre Uruguay et 3 buts à 2 pour l’Allemagne ! Bien informés ces petits, même pendant les concerts !!

Alban (en pleine forme) et Thomas L. (très expressif) entonnèrent donc « Papa regarde le foot ». La chanson est entraînante même si ce n'est pas ma préférée et le public fut participatif.

La chanson suivante fut encore une nouveauté pour moi : « Raconte-moi ». Un petit nouveau pris son courage à deux mains et, intimidé mais imperturbable, commença la chanson. Puis Antoine (le fameux nouveau) laissa la place à Pierre avant qu’Alan prenne le relais. Ce trio était sage et bien calme sur une chanson qu'il faudra que je réécoute.

Christian nous demanda alors de faire une ovation digne de ce nom à Antoine qui faisait là son premier solo devant un public et un solo visiblement apprécié !

Thomas L., Thomas B., Clément et Aymard entonnèrent ensuite leur fameux « Carabosse super-show ». La encore, les paroles ne m'enchantent guère mais la vitalité dans le chant et les gestes ainsi que la complicité ne pouvait que me plaire. On les sentait bien rodés mais pas las, comme des enfants qui jouent dans leur coin … mais devant un parterre attentif et amusé.

Christian présenta ensuite le groupe Abba et expliqua la francisation des paroles.

En pleine forme lui-aussi, il s'amusa beaucoup à tenter de destabiliser "Aladin" (dixit Christian) qui chantait … « Aladin, tête d’allumette » ! Là, et ce n'est peut-être qu'une impression de ma part mais je ne pense pas, je l'ai trouvé d'une fluidité, d'une décontraction, d'une aisance … épatante. Je crois que je peux dire adieu au "petit robot" et accueillir un franc soliste. Chorel, sur ce coup là, tu m’as beaucoup manqué, j'aurai tant aimé avoir la vidéo de cet exploit … tant pis, j'attendrai la prochaine fois !

Vint le tour de la période Poppys annoncée avec plaisir par Christian.

Thomas B. et Louis m'émurent avec « Non, je ne veux pas faire la guerre » d'une voix, respectivement, grave et sincère. Une interprétation forte en ressentiment.

Pour la vingt-deuxième chanson, je fis encore une découverte intéressante avec Louis et « Ami Jésus ». Une très belle chanson que j'ai choisi d'enregistrer et que vous pouvez trouver en très basse qualité ici.

Pour la suivante, il faudra que je lui dise la prochaine fois que je le verrai, le sourire de ce petit bonhomme est radieux ! Vous m'aurez suivi, notre amoureux déçu revint nous conter ses malheurs : la belle « Isabelle » a encore déménagé. "Elle souriait", dit la chanson, et lui alors ! Si ce n’est pas un sourire ça ! Christian invita le public qui réagit rapidement et repris en chœur/cœur le refrain malgré que notre amoureux, trop occupé à se lamenter, "n'entende rien". A noter que la note de fin a fait sensation parmi mes voisines…

Christian nous rappela désormais les origines des Poppys avec leurs chants engagés comme Noël 70 et désespéra car « Non, non rien n'a[vait] changé ».

C'est Clément et Thomas L. qui nous le confirmèrent. On sentait là de veux habitués avec une chanson plus vielle qu'eux mais toujours aussi efficace, surtout sur un public qui la connaissait et l'apprécia.

La chanson qui vint après fit réagir et surtout les enfants : « Liberta ». Certains semblaient l'avoir apprise à l'école et étaient fiers de pouvoir la chanter avec leurs parents et nos chanteurs. Ils furent salués par des applaudissements longs et nourris que Christian n'arriva pas à interrompre.

Il enchaina donc et dès que le chant suivant commença, le silence revint d'un coup : solennellement, le public se leva rapidement et avec respect (j'ai même cru voir des mains sur les poitrines ….) pour écouter « Dio vi Salvi Regina » (hymne corse dont vous trouverez la traduction ici : www.lexilogos.com/corse_hymne.htm).

Après une nouvelle ovation nourrie, Christian remercia les acteurs locaux, la technique, puis l'orchestre. J'en profite pour m'excuser auprès d'eux dont je ne parle que très peu (pour ne pas dire pas du tout) et dont la seule chose que je peux dire c'est que je n'ai jamais entendu les erreurs dont a pu me faire part Maxime… Et pour me faire pardonner, je vais les nommer ici : Jean-Baptiste et Maxime aux claviers, les deux Vincent's aux guitares, Gaël à la basse et Viannet et Arnaud à la batterie. Christian annonça aussi, à mon étonnement, que des chanteurs allaient passer parmi nous avec des paniers. Cela permettrait de financer une partie de cette tournée. Il lança ensuite la dernière chanson.

Alan et Pierre nous fit le plaisir d'interpréter le « Mendiant de l'Amour » où le public fut assez réactif. La touche d'ironie arriva quand le quêteur me présenta son panier sur "… donnez-moi de la tendresse, surtout pas d'argent, gardez toutes vos richesse car …" mais bon … la tendresse ne paye pas le bateau ! Comme autre petite anecdote, on peut signaler que tout, oui, tout le public était motivé et même un chien qui dansait… avec son maître. Les applaudissent furent intensifs et d’une durée modérée puis Christian attendit …

Le rappel fut long à venir mais Christian lança Jhos et « Let's the sunshine ». Une belle chanson également, un chanteur bien rodé et un public peut-être un peu fatigué par la châleur car réactif mais sur demande… Qu'ils sont obéissant ses Isolani !

Christian remercia chaleureusement le public et espéra revenir bientôt. Enfin, il lança l'orchestre dans son délire/final habituel devant le regarde admiratif et réjouis des derniers spectateurs.


Après-concert

Le concert était déjà fini et il fallût à nos chanteurs se changer et aider les grands à ranger. Après avoir échangé deux, trois mots avec certains, je repris la route de mon camping au clair de lune par 27° C et nous étions déjà dimanche. La route fût paisible, la tête encore dans les chants, le camping endormi. La nuit fût belle … mais courte. A 6h le soleil, pointait déjà le bout de son nez, à 7h la chaleur dans la tente n'était plus tenable. Mon voisin nous offrît gentiment, à moi-même et deux voisines, un café (italien !). La journée s'annonçait encore très belle.

Partis à discuter, j'en loupais mon train pour Calvi, tant pis : cela me fera une raison de revenir ! Je choisis donc l'option farniente. Après un déjeuner léger en ville où je commençai à rédiger mon papier, je remontais au camping pour m'installer confortablement face à la mer, à l'ombre des arbres sur une corniche … Et je me mis au travail !



N.B. : Tout au long de ce résumé, les propos de Christian ne sont que les souvenirs que j'en ai gardés. En aucun cas ils ne peuvent lui être attribué au mot voire même à l'idée. Ce ne sont que des ressentis, des souvenirs.

P.S. : Je tiens à remercier tous les PACIF pour ce concert de rêve ainsi que les différents membres de ce forum qui m’ont incité et soutenu pour ce (petit mais hasardeux) périple. Merci aussi à tous ceux qui auront eu le courage de me lire jusqu’au bout. Vos critiques, même en MP, ne peuvent m’être qu’utiles pour les prochains résumés.



A bientôt pour un prochain concert !

Très beau reportage,bravo.
On a l'impression d'y avoir participé.
Un grand merci

Même chose que pour GrandRusignolu : Un grand Bravo et un grand Merci à toi, Le Neptunien, pour ton reportage plus vivant que nature !!! On dit que "tout ce qui est long est bon", alors, tu l'auras compris, ton résumé est excellent !!!

A bientôt.

Bravo Le Neptunien

Ton résumé est un vrai compte rendu détaillé! J'y ai retrouvé des moments que j'ai moi-même vécus mais dont je n'ai pas pensé à parler.

Comme j'ai pu le signaler au Neptunien, je pense qu'il s'agit, d'après les solistes annoncés, de "Trop jeune ou trop vieux" au lieu de "Tu poses une pierre" en première partie. Je laisse le soin à notre reporter d'effectuer la correction.

A bientôt.

BRAVO, BRAVO Le Neptunien!! Et un grand MERCI!!!
Tu me raproches à la Corse, à la France!! J'ai lu ton compte rendu avec beaucoup de plaisir!!
Tu peux très bien écrire! Comme Flomick a écrit ton résumé est excellent !!! Et oui c'est vrai!!

PS: Je pense les PCAIF ont trouvé un nouvel uniforme par eux même! Il me semble leurs goûts et les miens sont un peu la même.

Jasmine a écrit:

PS: Je pense les PCAIF ont trouvé un nouvel uniforme par eux même! Il me semble leurs goûts et les miens sont un peu la même.

Je reviens sur cet uniforme (jean bleu et polo blanc), il a été porté en 2008 pour la précédente Tournée en Corse, et aussi un peu avant, à l'Ile Maurice. Là, je parle de mes propres souvenirs. Mais, il a peut-être, voir sûrement été porté auparavant. Disons que, pour un climat chaud comme la Corse, c'est plus décontracté que la chemise fermée avec noeud papillon. Ceci-dit, la chemise a été portée sans noeud papillon et avec col ouvert lors de la dernière Tournée en Alsace, l'année suivant l'Ile Maurice. Enfin, petite fantaisie de Jean Amoureux, la chemise a été portée à deux ou trois reprises (lors des différentes célébrations des 60 ans de la Chorale) par-dessus le pantalon et avec le col ouvert. Et oui, il fallait oser et Jean l'a fait !

J'attends d'autres propositions de tenues dans le post prévu à cet usage.

A bientôt.

Merci pour cette belle page d'écriture.
Et tu nous fais tous regretter de ne pas t'avoir accompagné !!

Bonne continuation

Laurent.

Merci le Neptunien pour ce résumé si détaillé!
Quand je lis tout ça, c'est comme si j'y étais moi-même.
Très bien, c'était super!

Vidéos

Pour ceux qui me les ont demandées, mes vidéos sont de trop mauvaise qualité et leur diffusion d'en vaut vraiment pas la peine. En plus, je n'arrive ni à mettre des génériques, ni rogner pour ne conserver que les chansons ...

Il ne vous reste plus qu'à profiter de celles de GrandRosignolu.

A bientôt !

de retour sur la toile ....... je me suis régalée jusqu'à l'overdose des comptes rendus et vidéos, dommage neptune que tu ne veuilles pas mettre les tiennes, même de mauvaises qualités ... c'est toujours mieux que rien.

merci et bravo aux reporters

Bon d'accord, si vous insistez, voici les photos et vidéos. Mais je vous aurez prévenu, elles sont de (très) basse qualité !

A bientôt !

Merci beaucoup Le Neptunien. Il donne une bonne impression
Tu as pris belles photos!

Mais non, le Neptunien, tu es trop modeste! Les photos ne sont pas si mauvaises que ça!!!!
Elles nous donnent une bonne impression des préparations et du concert. En plus on voit un peu ton impression personnelle de la Corse: jouer aux boules, boisson à la terrasse! Il y a des manières beaucoup plus désagréables pour passer le temps....

Merci Le_neptunien pour cet excellent travail de reporter sur ton aventure Corse, et pour nous faire partager avec moultes détails une soirée de concert de la chorale. On s'y croirait.
A bientôt.

Merci à tous pour vos encouragements. Ce fut un plaisir aussi pour moi de penser à vous tous durant les longues heures de rédaction. Pour les photos, je vais peut-être me décider à acheter un appareil ... quand la paie de juillet tombera !

Comme tu dis, Thamar10, il y a pire que de passer le tps en compagnie des PCAIF avec Pastis (et modération !) et pétanque ...

A bientôt et profitez bien de l'été !